La frénésie de Baselworld à peine terminée, la maison Pequignet offre aux amateurs de belles montres françaises l’opportunité de découvrir ses nouvelles collections.
C’est dans l’un des salons d’un des plus hauts lieux de la gastronomie française que Laurent Katz et Tamara Vatelot ont organisé cette présentation.
Plusieurs couleurs accompagnent les nouveautés Manufacture que sont les nouvelles montres de plongée. La montre Royale 300 se décline en plusieurs coloris et est animée par le Calibre Royal à remontage automatique (dans les deux sens) qui assure une réserve de marche de 88 heures. Le boîtier, d’un diamètre de 43 mm pour une épaisseur de 15,10 mm, garantit une étanchéité à 300 mètres.
La lunette, le bracelet et la couronne sont en caoutchouc. La couronne caoutchoutée a fait l’objet d’un dépôt de brevet pour son vissage ¼ de tour qui en simplifie l’utilisation. Cerise sur le gâteau, cette manipulation permet d’aligner correctement le logo Lys indexé sur la couronne. Un détail qui ravira les puristes de l’esthétisme.
Ces montres de plongée sont au tarif de 4500 €.
Pequignet propose une série limitée à 25 exemplaires de la Royale Titane Fantôme. L’assemblage de cette montre est réalisé par une seule et même personne. Le fond transparent permet d’admirer le travail effectué sur le mouvement nickelé.
Le tarif de cette montre est de 8500 €.
La gamme « Elegance » s’enrichit d’un nouveau modèle avec un boîtier d’un diamètre de 38 mm. Elle reprend les codes de sa grande sœur (celle-ci en 42 mm) avec des proportions adaptées aux poignets masculins moins volumineux.
Cette montre est proposée avec un cadran soleillé bombé en trois couleurs : argent, bleu ou noir. Elle s’accompagne d’un bracelet acier ou cuir.
Le calibre à remontage automatique et une étanchéité de 100 m assurent à ce modèle un usage polyvalent pour la plupart d’entre nous.
Le tarif de cette montre s’échelonne de 800 à 900 €.
Les aficionados des chronos ne sont pas oubliés. La Maison Pequignet présente désormais un chronographe dans la Collection « Elégance ».
Disponible en trois couleurs (bleu, noir ou rhodié), le cadran dispose des trois compteurs traditionnels des chronographes. Celui situé à 6 heures est dédié au chronométrage des heures, celui situé à 9 heures l’est pour les minutes. Le dernier compteur, situé à 3 heures, est celui de la petite seconde et on y trouve également le guichet de la date.
La mention « Fabriqué en France » indiquée à 6 heures dans le rehaut rappelle les origines françaises de la montre.
Le boîtier d’un diamètre de 42 mm embarque le calibre SII NE88, à roue à colonne et embrayage vertical, qui assure une réserve de marche de 45 heures.
Ce chronographe est proposé au tarif de 1990 €.
La présentation de la Collection Homme se termine par le modèle Aviateur. Les caractéristiques des montres de pilotes sont réunies dans cette montre : une grande lisibilité grâce au traitement Luminova des aiguilles et des index, une couronne hélicoïdale (avec le logo de la marque) et un grand guichet de date.
De 42 mm de diamètre et étanche jusqu’à 100 m, le boîtier de cette montre est proposé en deux versions : acier ou acier recouvert d’un traitement DLC noir. La montre est habillée, au choix, d’un bracelet réalisé en Cordura ou en cuir de veau.
Cette montre est proposée au tarif de 990 €.
Les femmes ne sont pas en reste et se voient proposer les nouveaux modèles de la Collection « Trocadéro ». Sertis de diamants ou non, ces modèles de 32 mm en acier sont de fiers représentants du luxe et de l’élégance à la française.
On peut, au choix, les habiller de cuir ou d’acier. Chaque association aboutissant de toute façon à embellir un poignet féminin.
Les tarifs de cette collection s’échelonnent de 900 à 4500 €.
Merci à Tamara Vatelot et Laurent Katz pour leur accueil.
Texte et photos : Michel PV pour « Passion Horlogère ».
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