Pequignet finaliste du Concours de Chronométrie

Pequignet finaliste du Concours de Chronométrie, une première victoire pour la célèbre maison horlogère française
L’histoire ne retiendra-t-elle que les premiers, les vainqueurs ? Peut-être. Pourtant, les vainqueurs d’aujourd’hui n’étaient pas ceux d’hier, et ne seront peut-être pas ceux de demain. Dans bien des cas, la victoire n’est pas nécessairement d’avoir battu les autres, mais d’être allé au bout de ses capacités, au bout d’un exercice imposé.

Pequignet a passé tous les tests du Concours International de Chronométrie. Seules trois marques et six montres ont atteint ce stade, dont Pequignet. La maison française, 100% indépendante, a investi temps et passion dans la préparation de son Calibre Royal, présenté dans la catégorie Classique sous la forme d’une Royal Titane sans date. Autant de temps et de passion pour la manufacture de Morteau que d’imposants conglomérats suisses pesant plusieurs milliards. « C’est une victoire que d’avoir su franchir la totalité des épreuves de sélection et fini aux côtes des plus grands », confie Laurent Katz, CEO Pequignet. « Le Calibre Royal est un mouvement récent dont les performances tutoient déjà celles de calibres historiques, optimisés depuis des décennies avec succès par des Groupes de premier plan ».

Le Calibre Royal a été entièrement conçu, prototypé, contrôlé et assemblé dans le laboratoire de Haute Horlogerie Pequignet à Morteau, au coeur du Jura horloger français. Un seul grand barillet lui offre une réserve de marche de 100 heures. Doté d’un double grand guichet, date et jour à trois disques situés au même niveau, il peut être corrigé sans aucun risque pour le mécanisme, quelle que soit la position des aiguilles. Le Calibre Royal équipe actuellement six gammes de la collection Manufacture.

« Notre Calibre Royal fait partie des trois seules marques qui ont passées ces tests, représentant un total de six montres. Toutes les autres n’ont pas atteint ces résultats voire ont été éliminées à des stades antérieurs du Concours », conclut Laurent Katz. « Dans l’ascension continue de Pequignet sur la scène horlogère, c’est un résultat qu’il faut considérer à sa juste valeur, prouvant la qualité, la fiabilité et la précision de notre Calibre Royal. Nous poursuivrons cette voie qui croisera très probablement, une nouvelle fois, celle du Concours de Chronométrie ».