Vingt-quatre heures à pleine vitesse. C’est le défi qu’imposent les 24 Heures du Mans, la particularité qui fait de cette compétition, selon un avis universellement répandu, l’une des courses automobiles les plus difficiles du monde. Qu’il pleuve ou qu’il vente, de jour comme de nuit, les pilotes n’ont aucun répit ; à chaque tour, ils repoussent leurs propres limites et celles de leur voiture.
Les 24 Heures du Mans sont le nec plus ultra des courses d’endurance. Organisées pour la première fois en 1923, elles sont toujours remportées par l’équipe sachant conjuguer résistance à la fatigue, fiabilité et vitesse du véhicule, passion pour le sport, détermination sans faille et rage de vaincre. Ce rendez-vous incontournable du calendrier automobile a hissé au rang d’icônes nombre de voitures et de pilotes. La 84e édition se tiendra les 14 et 15 juin prochains.
UN PARTENARIAT GAGNANT
Il est difficile de rouler vingt-quatre heures sans encombre et encore bien plus ardu de couvrir les plus de 5000 kilomètres nécessaires pour avoir une chance de gagner. Mais la récompense est à la hauteur du défi : une Rolex Cosmograph Daytona et une place de choix dans la grande histoire sportive de l’humanité.
Rolex s’est fièrement engagée depuis longtemps aux côtés du sport automobile, lequel regroupe les vertus cardinales du sport : constance, vitesse et respect de la tradition. Sensible au très grand prestige des 24 Heures du Mans, Rolex en est Montre Officielle depuis 2001 et entretient des liens étroits avec le créateur et organisateur de la course, l’Automobile Club de l’Ouest.
LE BERCEAU D’UN MYTHE
Tom Kristensen, Derek Bell, A. J. Foyt, Henri Pescarolo, Bentley, Audi, Porsche, Mulsanne, le Tertre Rouge, le pont Dunlop… Des pilotes, des marques, des lieux devenus mythiques en quatre-vingt-dix ans d’histoire. Les 24 Heures du Mans se sont sans aucun doute imposées comme une épreuve de légende, et bien des personnalités et des marques automobiles y ont largement contribué au prix d’efforts acharnés. Leur aura est telle qu’elles attirent chaque fois une multitude de participants et de passionnés de tous horizons. Lors de la dernière édition se sont côtoyés des pilotes de 20 à 68 ans, des talents en herbe et des habitués de la compétition, des vedettes de cinéma et de télévision férues de course automobile et des pros du Championnat du Monde de Formula 1®.
On est ici en symbiose parfaite : les 24 Heures du Mans se construisent à travers la passion, le talent et les personnalités remarquables ; en retour, chaque participant se nourrit du défi qu’il entreprend sur cette piste prestigieuse.
TOM KRISTENSEN, LÉGENDE DU MANS
Neuf fois vainqueur au Mans et Témoignage Rolex, Tom Kristensen affirme que son enthousiasme ne s’est jamais démenti, même après presque vingt ans de compétition au plus haut niveau sur le Circuit de la Sarthe. La première victoire du Danois remonte à 1997, et son tout dernier succès date de l’année dernière, à l’occasion du 90e anniversaire de la première édition de la course.
« J’adore courir au Mans, dit-il. C’est le point culminant de chaque saison, la course qui draine le plus d’énergie. C’est un défi unique, et il faut évoluer à son meilleur niveau si on veut gagner. C’est vraiment dur, mais c’est ce que les pilotes adorent au Mans. Vous savez, je dois énormément à cette course. Je suis né dans une station-service au Danemark, et jamais je n’aurais pensé faire une telle carrière lorsque j’ai débuté les courses de karting. Où que j’aille dans le monde, les gens connaissent les 24 Heures du Mans. »
Les 24 Heures du Mans sont disputées sur le Circuit de la Sarthe, dit aussi « Circuit des 24 Heures ». Long de 13,629 km, celui-ci est situé dans l’ouest de la France. Combinant route et piste dédiée, c’est actuellement l’un des circuits les plus rapides au monde ; les prototypes y atteignent des vitesses maximales proches des 340 km/h. Chaque année, les développements techniques et aérodynamiques permettent aux équipes de pointe d’aller plus vite et plus loin. Alors qu’une grande partie de chaque tour est parcourue à fond, on imagine le stress humain et technique ainsi que l’usure extrême des freins et des suspensions au fil des terribles ralentissements qu’imposent virages et chicanes.
Pour réussir au Mans, il faut rester attentif vingt-quatre heures, sans jamais faillir, et pour cela, un étroit travail d’équipe est évidemment indispensable. Au volant, la constance est vitale : il faut pouvoir rouler aussi vite dans le dernier tour que dans le premier.
UNE COURSE QUI SE JOUE EN ÉQUIPE
Les trois pilotes en charge de se relayer pour que la voiture aille au bout de la course doivent faire preuve d’une précision absolue. Toute erreur de jugement, tout écart de trajectoire, toute faute de freinage, tout retard lors d’un dépassement peuvent avoir des conséquences désastreuses. Quant aux mécaniciens, leur efficacité dans les stands ne doit jamais se démentir, car ils doivent faire en sorte que la voiture roule le plus longtemps possible entre deux relais et qu’elle passe devant le drapeau à damiers. La gestion de l’écurie, la stratégie de course, le contrôle des ressources, tout cela demande beaucoup d’attention durant vingt-quatre heures non-stop. L’objectif : rester devant alors que les conditions de course évoluent sans cesse.
À LA RECHERCHE DE LA VITESSE MAXIMALE
Certes, les 24 Heures du Mans sont une course d’endurance. Pourtant, la vitesse en est l’une des clés. Dans les années 1970, on y frôlait les 400 km/h ! Pas étonnant dans ces conditions qu’au cours de l’histoire du Mans, la sécurité des pilotes et des spectateurs ait fait l’objet d’une attention soutenue et que le circuit ainsi que les caractéristiques techniques des voitures aient subi des modifications régulières pour limiter les vitesses atteintes et réduire la puissance des moteurs.
La progression des temps au tour témoigne de l’équilibre délicat entre les modifications apportées par les organisateurs et la technologie en constante évolution. Le record du tour en course de 3’ 19’’ 074 (vitesse moyenne de 246,463 km/h) établi en 2010 sur la configuration actuelle du circuit rejoint désormais le record du tour absolu de 3’ 18’’ 400 (244,387 km/h de moyenne) enregistré en 1971 sur un tracé légèrement plus court et avec une ligne droite des Hunaudières de 5,8 km de long, encore inchangée et parcourue à la vitesse maximale.
IMPACT INTERNATIONAL
La renommée de l’épreuve mancelle est aussi évidente que remarquable. L’édition 2012 a mis en lice 56 voitures pilotées par 168 pilotes de 28 nationalités différentes. Ce groupe de pilotes internationaux n’est qu’une facette de la mondialisation de l’événement qui, chaque année, le temps d’un week-end, draine plus de 250 000 personnes séduites par l’ambiance, le spectacle, le prestige, l’aura, la passion, les multiples rebondissements et anecdotes des 24 Heures du Mans. Cette épreuve extraordinaire occupe une place unique dans le sport international ; sa légende fait rêver des millions de personnes.
L’AUTOMOBILE CLUB DE L’OUEST
Fondé en 1906 et basé au Mans, l’Automobile Club de l’Ouest (ACO) est l’un des grands acteurs du sport automobile depuis plus d’un siècle. Ses activités principales sont l’organisation de courses et la promotion active de la sécurité routière. L’année de sa fondation, le club créait le tout premier Grand Prix automobile avant de lancer, en 1923, les 24 Heures du Mans. Quatre-vingt-dix ans plus tard, cette épreuve est l’une des plus renommées et des plus intéressantes de la planète, en grande partie grâce aux valeurs prônées par l’ACO et partagées avec Rolex : la sportivité, le dévouement, la performance et l’innovation technologique.
« SPIRIT OF LE MANS »
En hommage aux 24 Heures du Mans et à tous ceux qui ont contribué à sa légende, l’ACO décerne depuis 2001 le trophée honorifique « Spirit of Le Mans » (Esprit du Mans). Cette récompense, qui prend la forme d’une Rolex Cosmograph Daytona spécialement gravée, est attribuée à celles et ceux qui incarnent le mieux l’esprit et la passion de la compétition. Parmi les anciens lauréats de ce prix figurent Hugues de Chaunac, Yoshimasa Hayashi, Tom Kristensen et Gérard Larrousse.
Dimanche 8 juin
14:30 – 19:00 Vérifications administratives et contrôle
Lundi 9 juin
10:00 – 18:00 Vérifications administratives et contrôle
Mardi 10 juin
17:00 – 18:30 Séance d’autographes avec les pilotes
Mercredi 11 juin
16:00 – 20:00 Essais libres
22:00 – 00:00 Essais qualificatifs
Jeudi 12 juin
19:00 – 21:00 Essais qualificatifs
22:00 – 00:00 Essais qualificatifs
Vendredi 13 juin
10:00 – 20:00 Visites des stands et de la piste
17:30 – 19:30 Parade des pilotes
Samedi 14 juin
09:00 – 09:45 Warm-up
15:00 Départ de la 82e édition des 24 Heures du Mans
Dimanche 15 juin
15:00 Arrivée de la course
VAINQUEURS 2013 (CLASSEMENT GÉNÉRAL)
AUDI SPORT TEAM JOEST, Audi R18 e-tron Quattro #2; Le Mans Prototype 1 (LM P1)
Pilotes
Tom Kristensen, Loïc Duval, Allan McNish
Tours
348
Vitesse moyenne
197,4 km/h
Distance
4742,89 km
1906 : Création, au Mans, de l’Automobile Club de l’Ouest (ACO). Fondé pour répondre aux besoins de tous les automobilistes, le Club organise le premier Grand Prix de France.
1923 : Première édition des 24 Heures du Mans, les 26 et 27 mai. Sur 33 voitures au départ, seules trois abandonneront en course. Les vainqueurs seront les Français André Lagache et René Léonard après 128 tours et plus de 2209 km parcourus à la vitesse moyenne de 92,06 km/h. Les éditions 1956 et 1968 seront les deux seules autres à ne pas avoir lieu en juin.
1930 : Cinquième victoire de Bentley ; les « Bentley Boys » entrent dans la légende. Le Britannique Woolf Barnato est le premier triple vainqueur de la course tandis que les Françaises Marguerite Mareuse et Odette Siko, premier équipage féminin aux 24 Heures, créent la sensation avec une jolie septième place.
1940–1948 : Annulation de l’épreuve en raison de la Seconde Guerre mondiale.
1949 : Retour des 24 Heures et première victoire de Ferrari.
1955 : Un accrochage dans les premières heures de course entre le Français Pierre Levegh et le Britannique Lance Macklin suivi de la sortie de route de Pierre Levegh et de l’explosion de sa voiture dans le public massé dans les tribunes en face des stands fait près de 80 morts et des centaines de blessés. Cet accident, l’un des plus terribles de toute l’histoire du sport, changera la manière d’appréhender la sécurité des courses automobiles.
1966 : Alors que Ferrari compte déjà neuf victoires aux 24 Heures du Mans depuis 1949 et est même invaincue de 1960 à 1965, Ford vient mettre un terme à cette domination avec un doublé quasi simultané. Les règles stipulant qu’il ne peut y avoir qu’un vainqueur, la n° 2 sera déclarée gagnante. Partie quatrième sur la grille, elle est réputée avoir parcouru 20 mètres de plus que la n° 1, partie deuxième. C’est le final le plus serré de toute l’histoire du Mans.
1967 : La barre des 300 000 spectateurs est franchie pour la première fois. Tous sont venus voir le combat homérique entre Ford et Ferrari. Autre frontière franchie, celle des 5000 kilomètres, par une voiture qui signe la seule victoire 100% américaine au Mans : voiture (une Ford Mark IV), team (Shelby American Inc.) et pilotes (Dan Gurney et A. J. Foyt).
1970 : Cette édition sera marquée par la première victoire de Porsche grâce au pilote allemand Hans Herrmann et au Britannique Richard Attwood. Les vingt-huit années suivantes voient Porsche l’emporter encore 15 fois ! C’est aussi cette année-là que l’on tourne le célèbre film Le Mans avec Steve McQueen.
1971 : Les organisateurs décident d’abandonner le départ style Le Mans. Désormais, au lieu de courir vers leur voiture au drapeau vert, les pilotes se lancent de manière plus sûre, depuis leur volant.
1982 : Sixième victoire de Jacky Ickx, un record que le Belge conservera jusqu’en 2005, année du septième succès de Tom Kristensen.
1988 : Roger Dorchy, au volant de sa WM Secateva P88, fait exploser le record de vitesse de la ligne droite des Hunaudières, atteignant 405 km/h. En 1990, deux chicanes seront construites sur cette longue section de 5,8 km.
1997 : Première participation et première victoire au Mans pour le pilote danois Tom Kristensen, par ailleurs Témoignage Rolex. Il franchit l’arrivée avec un tour d’avance au volant de sa Joest Porsche TWR WSC-95.
1998 : Seizième victoire d’une Porsche ; la marque reste le constructeur le plus titré des 24 Heures du Mans.
1999 : Le pilote français Henri Pescarolo, quadruple vainqueur (1972-73-74-84), prend sa retraite après 33 participations – un record.
2005 : L’Audi R8 gagne Le Mans pour la cinquième fois, et Tom Kristensen devient le recordman de victoires au Mans avec un septième succès.
2006 : Le diesel triomphe dans la Sarthe pour la première fois avec l’Audi R10 des Allemands Frank Biela et Marco Werner et de l’Italien Emanuele Pirro.
2008 : L’édition est marquée par une huitième victoire pour Tom Kristensen – un record.
2010 : Le record du tour sur l’actuelle configuration du circuit (13,629 km) est porté à 3’19’’074 par Loïc Duval (France) au volant de sa Peugeot 908 HDi FAP avec une vitesse moyenne de 246,463 km/h.
2012 : Cette fois, Audi crée l’événement en faisant gagner une voiture hybride, l’Audi R18 e-tron quattro pilotée par le Suisse Marcel Fässler, l’Allemand André Lotterer et le Français Benoît Tréluyer.
2013 : A l’occasion du 90e anniversaire de la première édition des 24 Heures du Mans, Tom Kristensen remporte la course pour la neuvième fois – un exploit inégalé.
Rolex est fière d’être un partenaire majeur des événements les plus prestigieux du monde des sports automobiles. En s’associant à la Formula 1®, discipline reine dans ce domaine, en sponsorisant des compétitions particulièrement exigeantes comme les 24 Heures du Mans ou en perpétuant la tradition avec le Pebble Beach Tour d’Elegance et ses voitures anciennes, Rolex entretient une relation privilégiée avec l’univers de la vitesse et des sensations fortes.
HISTORIQUE
L’attachement de Rolex au sport et au dépassement de soi remonte aux origines mêmes de la marque. Lorsque Hans Wilsdorf fonde son entreprise horlogère, il est frappé par la mutation spectaculaire que connaît la société en ce début de XXe siècle. A une époque où la montre-bracelet est encore considérée comme un fragile bijou, lui perçoit tout l’intérêt d’un modèle robuste, précis et fiable adapté à un style de vie plus actif que jamais.
En 1910, une montre-bracelet Rolex obtient ainsi le premier bulletin de chronométrie au monde jamais décerné à une telle montre par le Bureau de contrôle de la marche des montres de Bienne, en Suisse. En 1926, Rolex invente la Rolex Oyster, première montre-bracelet étanche au monde grâce à un boîtier muni d’un ingénieux système breveté de lunette, de fond et de couronne de remontoir vissés. L’année suivante, pour prouver la validité de son invention, Hans Wilsdorf confie une Oyster à Mercedes Gleitze lors de sa traversée de la Manche à la nage. Au terme de plus de dix heures d’immersion, la montre s’avère toujours en parfait état de marche. C’est ainsi que la jeune Anglaise, en attestant des exceptionnelles performances de l’Oyster, devient le premier Témoignage Rolex.
En 1931, Rolex invente le premier système de remontage automatique pour montrebracelet à rotor libre appelé rotor Perpetual, précurseur des systèmes contemporains de remontage automatique.
Sous l’impulsion de Hans Wilsdorf, Rolex continue d’éprouver son produit grandeur nature en utilisant le monde comme un véritable terrain de validation de l’Oyster, démontrant à maintes reprises sa fiabilité dans les conditions les plus extrêmes : sur terre, dans les airs, dans les profondeurs des océans ou au sommet des plus hautes montagnes. Forte des nombreuses prouesses associées à son nom, Rolex devient dans le monde entier la référence en matière de précision chronométrique, de robustesse et de fiabilité.
Au même moment, Rolex poursuit sa quête incessante de perfection. Les montres Rolex, qui sont développées par les spécialistes les plus pointus et fabriquées exclusivement dans les meilleurs matériaux, deviennent des symboles universels d’élégance et de prestige.
Rolex s’associe à des activités qui, tout comme elle, sont mues par la passion, l’excellence et la précision. C’est donc tout naturellement que la marque noue une relation avec les sports automobiles. Des liens commencent à se tisser dans les années 1930 lorsque sir Malcolm Campbell, une Rolex Oyster au poignet, bat le record mondial de vitesse au sol.
DE PRESTIGIEUX PARTENARIATS
En 1959, la marque devient partenaire du circuit américain Daytona International Speedway et, quelques années plus tard, ajoute le nom « Daytona » sur le cadran de son iconique Cosmograph, chronographe créé pour les pilotes automobiles. Dès lors, le soutien de Rolex aux courses automobiles n’a de cesse de se renforcer au fil du temps. C’est ainsi que, depuis 1992, Rolex est Sponsor Titre de la Rolex 24 At Daytona en Floride et, depuis 2001, Montre Officielle des 24 Heures du Mans, plus ancienne course automobile d’endurance au monde.
Depuis 2013, Rolex est Montre Officielle de la Formula 1®, discipline reine des sports automobiles. Ce partenariat de longue durée constitue le dernier jalon en date d’une histoire de liens très étroits avec les sports automobiles et la vitesse. Depuis la fin des années 1960, Rolex compte en effet en la personne de sir Jackie Stewart un Témoignage légendaire. Figure emblématique de la course automobile, c’est en effet l’un des pilotes de Formula 1® les plus titrés de ces quarante dernières années. Sir Jackie Stewart est non seulement triple champion du monde FIA de Formula 1® (en 1969, 1971 et 1973), mais aussi détenteur de 27 victoires en Grand Prix. Il est aussi largement reconnu pour son action menée dans les années 1970 en faveur de la sécurité en Formula 1®.
De par son étroite collaboration avec les 24 Heures du Mans, Rolex soutient également le Danois Tom Kristensen qui a remporté ce classique de la course d’endurance à neuf reprises – un record.
Dans ce même esprit de dépassement des limites, Rolex est depuis 2011 Montre Officielle du projet Bloodhound SSC World Land Speed Record visant à établir, avec un véhicule supersonique ultraperfectionné propulsé par un réacteur et un moteur de fusée, un nouveau record de vitesse au sol de 1000 miles/h (1600 km/h). Ce projet perpétue les liens de longue date entre Rolex et la vitesse, liens qui remontent à 1935, année où sir Malcolm Campbell franchit la barre mythique des 300 miles à l’heure (480 km/h environ) au volant de son bolide Bluebird.
Rolex parraine également des manifestations célébrant l’élégance des voitures anciennes et non leurs performances en course. C’est le cas du Pebble Beach Concours d’Elegance (Etats-Unis). Lancé en 1950, il présentait à l’origine les modèles les plus avant-gardistes de l’époque. Aujourd’hui, cette prestigieuse compétition tenue chaque année à Pebble Beach en Californie (Etats-Unis) rassemble les plus belles des voitures de collection. Rolex est Montre Officielle de cet événement depuis 1997. Dans le cadre de cet exceptionnel rendez-vous, le Pebble Beach Tour d’Elegance presented by Rolex est l’occasion d’admirer les voitures en mouvement. Rolex est devenue en 2007 Presenting Sponsor de la manifestation.
Rolex est par ailleurs fière de son partenariat avec le Goodwood Revival (Royaume-Uni), épreuve réunissant des voitures de course datant d’avant 1966, et avec la Rolex Monterey Motorsports Reunion(Etats-Unis), événement qui attire plus de 600 voitures sur le circuit californien Mazda Raceway Laguna Seca, à Monterey.
Animée d’une passion pour l’excellence et d’une profonde admiration pour les sports automobiles, Rolex, figure de proue de l’industrie horlogère suisse, oeuvre à la poursuite de cette étroite collaboration entre deux univers prestigieux unis par la même quête de perfection.
Oyster Perpetual
Cosmograph Daytona
L’Oyster Perpetual COSMOGRAPH DAYTONA est la montre de référence des passionnés d’automobile et de vitesse.
Modèle emblématique créé en 1963, le COSMOGRAPH DAYTONA a été conçu pour répondre aux exigences chronométriques des pilotes professionnels en course d’endurance. Equipé d’une lunette tachymétrique graduée et d’un mouvement mécanique haute performance entièrement développé et manufacturé par Rolex, ce chronographe à la fiabilité légendaire est l’instrument idéal pour mesurer un temps et calculer une vitesse moyenne.
Un chronographe taillé pour la route
Le COSMOGRAPH DAYTONA a été créé pour être le meilleur outil de chronométrage des pilotes en course d’endurance grâce à sa précision, sa fiabilité et l’excellente lisibilité de ses fonctions. L’aiguille centrale des secondes du chronographe permet de mesurer un temps au 1/8 e de seconde, tandis que les deux compteurs situés à 9 h et 3 h sur le cadran affichent respectivement le temps écoulé en heures et en minutes. Le pilote peut ainsi visualiser ses temps avec précision et déterminer ce qu’il lui reste à parcourir pour emporter la victoire.
Mesurer la vitesse jusqu’à 400 km /h
La lunette gravée du COSMOGRAPH DAYTONA a une fonction tachymètre : son échelle permet de lire la vitesse moyenne sur une distance donnée en fonction du temps chronométré. Placé sur la lunette pour libérer le cadran et offrir une lisibilité optimale, ce tachymètre fait du COSMOGRAPH DAYTONA l’instrument parfait pour mesurer la vitesse jusqu’à 400 unités par heure, que ce soient des kilomètres, des miles ou toute autre unité de mesure.
Le boîtier OYSTER , symbole d’étanchéité
Le boîtier OYSTER du COSMOGRAPH DAYTONA, garanti étanche jusqu’à 1 00 mètres, est un exemple de robustesse. Sa carrure aux formes caractéristiques est taillée dans un bloc massif de métal – or 18 ct, platine 950 ou acier 904L – particulièrement résistant à la corrosion. Son fond cannelé est hermétiquement vissé à l’aide d’un outil spécial propre aux horlogers Rolex. La couronne de remontoir, munie du système breveté de triple étanchéité TRIPLOCK et protégée par un épaulement taillé dans la masse de la carrure, se visse solidement sur le boîtier, de même que les poussoirs de chronographe. Quant à la glace, elle est en saphir de synthèse pratiquement inrayable. Totalement étanche, le boîtier du COSMOGRAPH DAYTONA protège ainsi de manière optimale de l’eau, de la poussière, de la pression et des chocs le mouvement haute précision qu’il abrite.
Le calibre 4130, chronographe superlatif
Le COSMOGRAPH DAYTONA est équipé du calibre 4130, un mouvement mécanique chronographe à remontage automatique intégralement développé et manufacturé par Rolex. Comme tous les mouvements PERPETUAL de Rolex, le 4130 est certifié Chronomètre suisse, un titre réservé aux montres de précision supérieure ayant passé avec succès les tests du Contrôle Officiel Suisse des Chronomètres (COSC). Véritable concentré de technologie Rolex, son architecture entièrement repensée a permis de réduire considérablement le nombre de composants de la fonction chronographe, améliorant d’autant sa fiabilité. Le chronographe est enclenché par un mécanisme de roue à colonnes et un embrayage vertical. Celui-ci offre un démarrage instantané et extrêmement précis du chronométrage ainsi qu’une grande robustesse.
L’oscillateur, véritable coeur de la montre, est doté d’un balancier de grande taille à inertie variable réglé de manière extrêmement précise à l’aide d’écrous MICROSTELLA en or. Il est fermement maintenu par un pont traversant réglable en hauteur, permettant un positionnement très stable de manière à augmenter la résistance aux chocs.
L’oscillateur comprend un spiral PARACHROM bleu breveté et fabriqué par Rolex dans un alliage exclusif. Parfaitement insensible aux champs magnétiques, ce spiral présente une grande stabilité face aux variations de température et reste jusqu’à dix fois plus précis qu’un spiral traditionnel en cas de chocs. Il est muni d’une courbe terminale Breguet garantissant un meilleur isochronisme de ses oscillations.
Le calibre 4130 dispose d’un module de remontage automatique par rotor PERPETUAL assurant un armage continu du ressort moteur et fournissant ainsi une source d’énergie constante et stable grâce aux mouvements du poignet.
Visible des seuls horlogers habilités Rolex, le mouvement du COSMOGRAPH DAYTONA présente des finitions extrêmement soignées, reflet des exigences sans compromis de la marque en termes de qualité.
Bracelet et fermoir : sécurité et confort
Le bracelet OYSTER ou cuir du COSMOGRAPH DAYTONA est équipé d’un fermoir de sécurité OYSTERLOCK breveté prévenant toute ouverture accidentelle. Il dispose en outre, sur les bracelets en métal, de la maille de rallonge rapide EASYLINK, autre exclusivité Rolex. Cet ingénieux système permet d’ajuster facilement la longueur du bracelet d’environ 5 mm, offrant un surcroît de confort en toute circonstance.
Oyster Perpetual
Cosmograph Daytona
CATEGORIE
Montre Professionnelle
BOITIER OYSTER (carrure monobloc, fond, couronne et poussoirs vissés)
Diamètre 40 mm
Matériaux Acier 904L | ROLESOR jaune (combinaison d’acier 904L et d’or 18 ct) | Or jaune, gris ou EVEROSE 18 ct | Platine 950
Couronne Vissée à système de triple étanchéité TRIPLOCK
Protège-couronne Epaulement taillé dans la masse de la carrure
Glace Saphir de synthèse résistant aux rayures
Lunette Fixe avec échelle tachymétrique gravée ; en acier 904L, or 18 ct ou monobloc CERACHROM (en céramique avec graduation en or ou en platine par dépôt PVD)
Etanchéité 100 m
MOUVEMENTCalibre 4130, Manufacture Rolex
Mouvement chronographe mécanique à roue à colonnes et embrayage vertical
Remontage automatique bidirectionnel par rotor PERPETUAL sur roulement à billes
Précision Chronomètre suisse officiellement certifié COSC
Fonctions Heures et minutes au centre, petite seconde à 6 h. Chronographe précis au 1/8e de seconde par aiguille au centre, compteur 30 minutes à 3 h, compteur 12 heures à 9 h. Stop seconde pour mise à l’heure précise
Oscillateur Fréquence : 28 800 alt /h (4 Hz)
Spiral PARACHROM bleu paramagnétique avec courbe terminale Breguet
Balancier de grande taille à inertie variable, réglage haute précision par écrous MICROSTELLA en or
Réserve de marche Environ 72 heures
BRACELET OYSTER, fermoir de sécurité OYSTERLOCK à boucle déployante avec rallonge de confort EASYLINK de 5 mm | Cuir, fermoir de sécurité OYSTERLOCK à boucle déployante
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