INTRODUCTION
Il existe énormément de littérature, sur internet ou en librairie, sur la Speedmaster Moonwatch et ses nombreuses déclinaisons. De même, les très nombreux modèles de plongée de la famille Seamaster ont déjà fait l’objet de nombreuses présentations ou articles.
En revanche, l’histoire des modèles Flightmaster, lancés à la fin des années 60, n’a finalement été que très peu documentée. Ceci s’explique sans doute par la durée relativement courte de la production de ces modèles (quelques années jusqu’au milieu des années 70), par leur gamme restreinte (3 modèles en acier uniquement, assez similaires, et un en or), mais aussi peut-être par leur extrême originalité qui les a toujours rendus peu conformes aux standards courants.
Il est extrêmement rare de voir un Flightmaster au poignet de quelqu’un. Cela ne m’est arrivé qu’une seule fois, avec mon voisin de table lors d’un dîner au restaurant, et par chance j’en portais également un modèle : inutile de dire que cette coïncidence a très vite entraîné une conversation longue et passionnée sur l’histoire d’Oméga et les mythes horlogers des années 60 et 70 …
Que ce soit sa forme imposante et singulière, sa taille, ses fonctions, tout diffère sur un Flightmaster, et c’est précisément cette forte personnalité qui en fait tout l’intérêt : cette montre n’a jamais été copiée, ne présente aucune ressemblance avec les autres, qu’elles soient de la même époque ou plus récentes.
7 aiguilles, 5 cadrans, 3 couronnes, 2 poussoirs et une forme unique : quel autre modèle pourrait s’en approcher ?
C’est la raison pour laquelle j’ai souhaité effectuer cette revue relativement détaillée.
Le timing est d’ailleurs assez opportun, au moment où Omega s’apprête à commercialiser son modèle « Z-33 », qui serait en quelque sorte l’héritier de la famille Flightmaster originale (après les modèles « X-33 » qui pouvaient également s’en rapprocher – philosophie comparable, montre de pilote – mais sans en reprendre véritablement les codes esthétiques).
LES 4 REFERENCES DE FLIGHTMASTER
Remarque : le nom « flightmaster » avait en fait été utilisé une première fois par Omega quelques années auparavant, pour la production d’une série limitée de modèles de type Railmaster (référence CK 2914) destinés aux pilotes de chasse péruviens (les « FAP »), qui avaient souhaité avoir la mention « Flightmaster » plutôt que « Railmaster » sur les cadrans (et au dos) de leurs montres.
La famille Flightmaster est née en 1969, avec, pour la première fois de la part d’Omega, la création d’une montre spécifiquement étudiée pour les pilotes d’avions. On associe très souvent les modèles Speedmaster au monde de l’aéronautique (et de la conquête spatiale), mais ils étaient au départ destinés à la course automobile. Les modèles Flightmaster, au contraire, ont quant à eux été imaginés pour une utilisation très concrète dans le monde de l’aviation civile et militaire, ainsi que pour les « voyageurs intercontinentaux » comme le mentionnaient les publicités de l’époque.
Il convient d’ailleurs de noter que le modèle Flightmaster sera aussi utilisé dans le domaine spatial, en étant officiellement portée par des astronautes soviétiques lors du programme Apollo – Soyuz.
Aleksey A. Leonov, Programme ASTP (Apollo Soyuz Test Project)
(crédit : Chuck Maddox)
Il existe 3 générations distinctes de Flightmaster, tous avec boîte en acier, et possédant des différences plus ou moins subtiles, auxquelles vient s’ajouter une référence en or massif.
La référence ST 145.013
Il s’agit de la 1ère génération, équipée d’un calibre 910 mécanique à remontage manuel (dérivé du calibre 861 équipant la Speedmaster), qui se reconnaît immédiatement grâce à deux caractéristiques distinctives :
– le compteur situé à 9h est à moitié vert et à moitié noir,
– la montre est en quelque sorte « figée », puisqu’elle ne possède pas d’aiguille des secondes permanentes, ce qui est un comble pour une montre possédant 7 aiguilles !
Omega Flightmaster 1ère Génération (référence ST 145.013)
(crédit : Antiquorum)
La référence ST 145.026
Il s’agit de la 2ème génération, équipée désormais d’un calibre 911 (dérivé du précédent) lui permettant de bénéficier, comme sur la Speedmaster, d’une aiguille des secondes permanentes située dans le compteur à 9h.
Au-delà de cette première différence avec la référence précédente, un autre signe distinctif est que les 3 compteurs (à 3h, 6h et 9h) sont désormais tous de la même couleur (noir), et le cadran apparaît donc comme un peu plus sobre que ceux des modèles de 1ère génération.
Omega Flightmaster 2ème Génération (référence ST 145.026)
(crédit : Antiquorum)
La référence ST 145.036
Elle représente la 3ème génération, ce qui est assez peu connu, puisque il est communément admis qu’il n’existe en fait que 2 générations : une avec le calibre 910 et une avec le calibre 911.
Il existe donc en fait deux références distinctes équipées du calibre 911 : la référence ST 145.026 vue précédemment, et une variante, la référence ST 145.036.
Ces 2 versions sont assez difficiles à distinguer visuellement et ne différent que par leur glace, dont le système de montage est différent : sur la première (ST 145.026), la glace est suspendue à gorge, alors que sur la seconde (ST 145.036), elle est à manchon.
La conséquence de cette différence est que les 2 références n’ont pas tout à fait la même épaisseur. Pour cette raison en effet, la référence ST 145.036 est un peu plus épaisse que la référence ST 145.026 : 15,65 mm au lieu de 14,65 mm.
Par ailleurs, il convient de noter que si toutes les glaces des modèles Flightmaster sont en verre minéral, celle de la référence ST 145.013 est légèrement bombée alors que celles des références ST 145.026 et ST 145.036 sont plates, anti-reflets et anti-abrasion.
Omega Flightmaster 3ème Génération (référence ST 145.036)
(crédit : Antiquorum)
La référence BA 345.0801
Il s’agit de la version en or massif (à ce propos, comme pour les autres modèles Omega de cette époque, on notera que les 2 premières lettres de la référence identifient le métal de la boîte : « ST » concerne les modèles en acier et « BA » les modèles en or jaune).
Cette référence a fait l’objet d’une production bien moindre, puisque l’on parle de 200 exemplaires (source : Omega, Voyage à travers le temps ).
Elle est équipée du calibre 910, celui de la 1ère génération, et son cadran possède donc logiquement un compteur bicolore à 9h (bleu et noir).
Autre élément distinctif très … pesant : son poids est de 250 grammes …
Omega Flightmaster en or massif (référence BA 345.0801)
(crédit : Antiquorum)
Tableau de synthèse des différents modèles de Flightmaster
Différentes références de Flightmaster en acier
(crédit : Orologi e Passioni)
LE FONCTIONNEMENT DU FLIGHTMASTER
Comme évoqué en introduction, le modèle Flightmaster a la particularité de posséder :
– 7 aiguilles,
– 5 cadrans,
– 3 couronnes,
– 2 poussoirs,
ce qui en fait un modèle relativement unique dans son genre …
Il convient par conséquent d’en comprendre les spécificités et le fonctionnement.
Fonctionnement du calibre 910
Afin de mieux comprendre les fonctions de ce calibre, il est possible de consulter les manuels d’instructions d’époque tels qu’illustrés ci-après.
La lecture de 2 fuseaux horaires
(crédit : www.old-omegas.com)
L’aiguille bleue en forme d’avion permet de lire un second fuseau horaire directement sur le cadran. Elle se règle grâce à la couronne située à 10h.
Le compteur situé à 9 fournit une indication matin (moitié noire) / après midi (moitié verte). Il est gradué 0-24h.
La fonction chronographe
(crédit : www.old-omegas.com)
La fonction chronographe permet la mesure, la lecture et l’enregistrement d’un intervalle de temps, ceci grâce à la trotteuse centrale qui mesure les secondes écoulées, au compteur situé à 3h qui totalise les minutes, et au compteur situé à 6h qui totalise les heures (l’intervalle maximal pouvant être mesuré est donc de 12h).
Le chronographe est actionné grâce au poussoir situé à 2h. On l’arrête en appuyant de nouveau sur ce même poussoir, et la remise à zéro s’effectue grâce au poussoir situé à 4h.
La fonction lunette tournante
(crédit : www.old-omegas.com)
La lunette tournante incorporée (graduée 0-60, de 5 en 5) se règle grâce à la couronne située à 8h.
Sa fonction principale est de mesurer une durée en heures ou en minutes sans actionner le chronographe. Par exemple, en réglant son index triangulaire en regard de l’aiguille principale des heures, cela permet de connaître directement le nombre d’heures écoulées, c’est à dire la durée en heure d’un événement, sans actionner le chronographe ; de même, en la plaçant en regard de l’aiguille principale des minutes, on peut lire une durée en minutes.
L’ensemble des aiguilles et des poussoirs du Flightmaster (calibre 910)
(crédit : www.old-omegas.com)
Fonctionnement du calibre 911
Le fonctionnement du calibre 911
(crédit : www.old-omegas.com)
Le fonctionnement du calibre 911 (ainsi que son utilisation et ses fonctions) est totalement similaire à celle du calibre 910.
Les rôles des différentes aiguilles, couronnes, poussoirs, et de la lunette tournante sont les mêmes, et la seule différence concerne le compteur situé à 9h : il ne s’agit plus d’un indicateur 0-24h, mais d’un indicateur des secondes permanentes.
Ainsi, la montre n’est plus « figée » comme l’était la génération précédente.
LES DIFFERENTS TYPES DE CADRANS DU FLIGHTMASTER
Comme nous l’avons vu précédemment, les cadrans diffèrent légèrement en fonction des références et du calibre.
Mais en étudiant ces cadrans de manière plus précise, on s’aperçoit qu’au sein d’une même référence, plusieurs types de cadrans ont pu être montés.
Cette analyse se révèle très complexe car on peut observer un très grand nombre de nuances de gris entre les différents cadrans.
Par conséquent, même si l’on peut assez clairement identifier un premier type dont la couleur originale était gris clair, il est en revanche difficile d’expliquer si les autres différences de teintes sont dues réellement à des types distincts, ou simplement à des fournisseurs différents, ou encore à des effets de décoloration variés dus au vieillissement.
On peut ainsi mettre en évidence 4 types de cadrans distincts pour les modèles en acier, et un cadran spécifique pour le modèle en or jaune.
Tous ces cadrans ont des index au tritium, et par conséquent ils comportent tous la mention « T swiss made » en bas du cadran à 6h. Seuls les cadrans de service ne comportent pas les « T », indiquant dans ce cas que le cadran n’est pas au tritium mais au luminova.
Cadrans de service au luminova sans « T » (pour calibre 910 à gauche, et calibre 911 à droite)
(crédit : ebay)
Cadran de type 1 (sur référence ST 145.013)
Il s’agit du tout premier cadran ayant été monté sur la 1ère génération (calibre 910).
Ses caractéristiques sont les suivantes :
– compteur bicolore noir / vert à 9h (comme sur tous les calibres 910),
– couleur principale du cadran : gris clair,
– l’index principal à 12h n’est pas entouré de deux points,
– la mention « T swiss made T » est inscrite en noir.
C’est le seul cadran dont la mention « T swiss made T » est noire, ce qui permet de le distinguer de tous les autres et d’affirmer assez logiquement que sa couleur initiale était bien claire (et que cette inscription était noire pour être plus visible).
Cadran clair de type 1 (calibre 910, référence ST 145.013)
(crédit : Orologi e Passioni)
Cadran de type 2 (sur référence ST 145.013)
Il s’agit du second cadran monté sur cette 1ère génération.
Il diffère du type précédent sur 2 points :
– la couleur du cadran n’est plus aussi claire (on peut penser qu’elle est toujours gris anthracite et que les variations plus claires observables aujourd’hui sont dues à une décoloration du cadran avec les années),
– la mention « T swiss made T » est inscrite en blanc (ce qui tendrait logiquement à confirmer l’hypothèse précédente).
Les points autour de l’index principal à 12h sont toujours absents.
Cadran foncé de type 2 (calibre 910, référence ST 145.013)
(crédit : Orologi e Passioni)
Cadran de type 3 (sur référence ST 145.013)
Sur ce type de cadran toujours installé sur la 1ère génération, les points au tritium apparaissent autour de l’index principal à 12h. Ce sera le cas sur tous les types successifs.
La mention « T swiss made T » est toujours inscrite en blanc.
La couleur principale du cadran est toujours plus foncée que sur ceux de type 1, mais on peut observer plusieurs nuances allant du gris moyen jusqu’au gris anthracite. Il est probable qu’il ne s’agisse pas réellement de cadrans différents mais plutôt de vieillissements différents. Il est également possible que ces nuances soient dues à plusieurs fournisseurs de cadrans.
Cadran clair (décoloré) de type 3 (calibre 910, référence ST 145.013)
(crédit : divers internet)
Cadrans foncés de type 3 (calibre 910, référence ST 145.013)
(crédit : divers internet)
Cadran de type 4 (références ST 145.026 et ST 145.036)
Il s’agit des cadrans installés sur les générations suivantes, équipées du calibre 911. Comme indiqué précédemment, on les reconnaît immédiatement à l’absence de couleur verte dans le compteur situé à 9h.
Pour le reste, ils sont globalement comparables aux cadrans de type 3.
Cadran clair de type 4 (calibre 911, références ST 145.026 ou ST 145.036)
(crédit : divers internet)
Cadran moyen de type 4 (calibre 911, références ST 145.026 ou ST 145.036)
(crédit : divers internet)
Cadran foncé de type 4 (calibre 911, références ST 145.026 ou ST 145.036)
(crédit : divers internet)
Cadrans avec compteurs « chocolat »
Comme pour certaines Speedmaster, il est possible de trouver des cadrans ayant eu des défauts de vernis et/ou sans doute exposés à des conditions climatiques ou des luminosités particulières, dont le résultat est une décoloration du cadran ou de certains compteurs.
La couleur de ces derniers vire alors au marron, et s’ils sont en bon état, ces cadrans singuliers sont souvent très recherchés par les collectionneurs.
Ces teintes « chocolat » peuvent apparaître a priori sur tous les types de cadrans.
Exemples de compteurs « chocolat », sur référence ST 145.013 (à gauche) et ST 145.026 (à droite)
(crédit : divers internet)
Cadran de la version or
Le compteur situé à 9h est bicolore (bleu / noir) puisqu’il s’agit d’un calibre 910 ; les 2 autres sont noirs. La mention « swiss made » est entourée non plus de « T » mais de « OM » indiquant que le cadran est en or.
Cadran en or jaune sur référence BA 345.0801
(crédit : MWR – The Military Watch Resource)
LES DIFFERENTS TYPES D’AIGUILLES DU FLIGHTMASTER
Le modèle Flightmaster comporte 7 aiguilles :
– l’aiguille blanche des heures principales,
– l’aiguille blanche des minutes principales,
– l’aiguille bleue en forme d’avion du second fuseau horaire,
– la petite aiguille blanche du compteur situé à 9h (indication 0-24h pour le calibre 910, secondes permanentes pour le calibre 911),
– les 3 aiguilles du chronographe : trotteuse centrale des secondes, aiguille du totalisateur des minutes à 3h, et aiguille du totalisateur des heures à 6h.
On observe 2 configurations différentes pour les aiguilles du chronographe :
– une première configuration « classique » de couleur orange,
– une seconde configuration « pilote » de couleur jaune : les aiguilles restent ainsi parfaitement visibles la nuit sous les éclairages à infrarouge des cabines de pilotage.
Ces 2 configurations semblent avoir été installées indifféremment sur les 3 références ST 145.013, ST 145.026 et ST 145.036 (éventuellement sur demande du client).
Il est certain que ces 3 références ne sont pas déterminées par le type d’aiguilles installées. En revanche, il est toujours difficile de valider la configuration originale des aiguilles montées sur les modèles observés.
Aiguilles de chronographe jaune ou orange installées sur différentes références
(crédit : Antiquorum)
LES COURONNES ET LES POUSSOIRS DU FLIGHTMASTER
Le modèle Flightmaster comporte 3 couronnes et 2 poussoirs :
– une couronne principale située à 3h servant à remonter le mouvement et à régler les aiguilles des heures et des minutes principales (en la tirant d’un cran) ; cette couronne porte le logo Ω,
– une couronne située à 10h servant à régler l’aiguille bleue du second fuseau horaire ; cette couronne porte une pastille bleue afin de l’identifier facilement,
– une couronne située à 8h servant à régler la lunette tournante intégrée ; cette couronne porte une pastille de couleur noire afin de l’identifier facilement,
– 2 poussoirs pour le chronographe, situés à 2h et à 4h.
Les 2 poussoirs du chronographe portent chacun 2 demi-disques : un de couleur jaune et un de couleur rouge. Ces couleurs rappellent les 2 configurations d’aiguilles (orange et jaune) disponibles pour le chronographe.
Il s’agit là de la configuration « classique » et observable sur la très grande majorité des modèles.
Il convient toutefois de noter 2 particularités importantes :
– les premiers exemplaires de Flightmaster (référence ST 145.013) ont pu être livrés avec des poussoirs simples, sans aucune pastille colorée (cette information a été confirmée par Omega),
– toujours sur les premiers exemplaires, certains observateurs ont pu constater que les poussoirs n’avaient pas 2 demi-disques mais une seule pastille dont la couleur correspondait à celle des aiguilles (cette information a été observée mais n’a pas été confirmée par Omega).
Poussoirs et couronnes colorés des modèles Flightmaster
(crédit : Orologi e Passioni)
LE FOND DU FLIGHTMASTER
Quelle que soit la version et la référence, le fond est identique et son signe distinctif, outre la mention « flightmaster » (avec un « f » minuscule) et le logo Ω, est le dessin d’un avion de ligne.
Par ailleurs, le fond est toujours brossé (comme l ‘ensemble de la boîte).
Fond de Flightmaster
(crédit : divers internet)
Il convient de noter que les fonds de service comportent un double zéro dans la référence gravée à l’intérieur (145.0013, 145.0026, 145.0036) : c’est à ce signe distinctif qu’on peut les reconnaître.
LES BRACELETS DU FLIGHTMASTER
L’entre-cornes de tous les modèles de Flightmaster est de 22 mm.
3 types de bracelets pouvaient équiper les modèles en acier à l’origine :
– un bracelet cuir perforé (de type « racing »),
– un bracelet de référence 1162 (certainement le plus courant),
– ou un bracelet de référence 1159.
Extraits de catalogues Omega montrant des modèles Flightmaster avec les 3 types de bracelets.
(crédit : www.old-omegas.com)
Le modèle en or jaune a quant à lui été produit :
– soit avec un bracelet cuir identique à celui des modèles en acier (de type « racing »),
– soit avec un bracelet en or massif (très peu d’exemplaires : entre 20 et 40 a priori).
L’ECRIN ORIGINAL DU FLIGHTMASTER
L’écrin original des modèles Flightmaster est très facilement reconnaissable de par ses inscriptions et son couvercle spécifiques.
Ecrin Flightmaster seul et référence ST 145.013 présentée en « full set ».
(crédit : divers internet)
Ce modèle si particulier est réellement passionnant. Il est extrêmement original et agréable à porter, contrairement à ce que pourrait laisser penser sa forme imposante. Pour toutes les raisons expliquées dans cette revue, il a toute sa place dans une collection Omega.
J ‘espère, comme d ‘habitude, vous avoir intéressé et peut-être avoir suscité de nouvelles envies …
Anthony M. pour Passion Horlogère
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