GIRARD-PERREGAUX VINTAGE 1945 TOURBILLON

Haute horlogerie, élégance et technologie

Fascinant. Seraient-ce les fameux Ponts d’or qui captive le regard ? La cinétique du mécanisme à tourbillon qui oscille à l’infini ? Ou les matériaux qui imposent leur force et leur teinte dans un savant jeu de clair-obscur ? Taillés dans l’or rose, le boîtier et les ponts forment un contraste saisissant avec la couleur de la platine. Son traitement anthracite mat est le résultat d’une combinaison particulière de matériaux proches du platine et fait appel à des technologies de pointe. D’autres éléments, tels le barillet, le pont inférieur de rouage et les supports de ponts, adoptent cette finition. L’effet visuel est étonnant.

Nouvelle interprétation d’un mouvement puisant ses origines à la fin du 19ème siècle, cette édition Vintage 1945 Tourbillon sous trois Ponts d’or crée un lien entre les époques. Bénéficiant des dernières avancées technologiques, elle concentre dans son boîtier d’inspiration Art Déco délicatement galbé un savoir-faire technique et horloger rare. 

Les ponts squelettes satinés, d’une géométrie pure et contemporaine, sont le fruit d’une conception extrêmement délicate : d’abord finement évidés, ils sont ensuite soigneusement polis à la main. Sept jours sont nécessaires pour obtenir une finition parfaite, les nombreux angles fermés constituant à eux seuls un défi de taille. Le dispositif à tourbillon fait également l’objet d’une attention particulière, ses 72 composants devant être minutieusement assemblés dans un diamètre de 12 millimètres seulement. À ces prouesses s’ajoute le précieux traitement anthracite mat qui donne ce garde-temps son identité si particulière.

Le mouvement à remontage automatique, calibre GP9600, dispose d’un micro-rotor intégré sous le barillet, breveté par Girard-Perregaux. L’architecture du mécanisme, qui se découvre également par le fond saphir, est encore valorisée par les composants traités anthracite mat. Une formidable démonstration du savoir-faire de la Manufacture. Ou comment esthétique et technique parviennent à se réinventer et à renouveler les règles de l’art horloger.