Esprit d’équipe. Goût de l’effort. Plaisir du jeu. JEANRICHARD partage de nombreuses valeurs avec le rugby. C’est pourquoi la marque horlogère suisse soutient activement le monde du ballon ovale. Pour renforcer ses liens avec cet univers d’exception, JEANRICHARD a choisi de créer sa propre «équipe», sa famille d’ambassadeurs dans le domaine du rugby. Cette «sélection» comprend neuf joueurs, tous issus du Top 14 et des plus célèbres clubs de France. Parmi eux, Vincent Clerc, ailier au Stade toulousain, qui nous parle de sa «philosophie de vie», de sa conception du temps et de sa vision de JEANRICHARD.
1-Comment définirais-tu ta «philosophie de vie» ?
Ma philosophie de vie, c’est d’être persévérant, fidèle à mes idées et à l’écoute des autres.
2-Le temps est-il un luxe pour toi ?
Je n’en ai effectivement pas assez. J’en manque pour profiter de ma famille et de mes amis. Lorsque j’aurai terminé ma carrière de rugbyman, j’espère que les rythmes seront plus propices pour passer davantage de temps avec eux.
3-Peux-tu nous décrire la minute la plus courte et la minute la plus longue de ta vie ?
La minute la plus courte a été lorsqu’en plein match, on m’a fait sortir de toute urgence pour aller retrouver ma femme à la maternité. Je m’étais projeté dans mon match et j’ai eu du mal à réaliser exactement ce qui se passait. La minute la plus longue, je l’ai vécue lors de la finale de la Coupe du Monde de rugby en 2011, en Nouvelle-Zélande. Pour affronter le Haka des All Blacks, nous avons décidé, le matin même, de former un V sur le terrain (V comme Victoire ou comme Vaillance). Nous avons pris ainsi tout le temps de les défier du regard ainsi qu’au niveau du mental.
4-Si tu n’étais pas rugbyman, comment occuperais-tu ton temps ?
Quand j’étais jeune, je voulais être kinésithérapeute, parce que cette profession était liée au sport et aux sportifs. Aujourd’hui, si je n’étais pas rugbyman, je crois que j’aurais choisi un métier ouvert sur l’humain et sur l’entraide, un métier où l’on fait des rencontres, comme travailler dans une ONG ou être médecin.
5-En quoi tes racines t’aident-elles à aller de l’avant ?
Mon père était rugbyman à Grenoble, dans l’Equipe Première. Je n’ai pas subi de pression de sa part pour suivre son chemin, mais j’ai été bercé dans ce monde-là depuis tout petit. Mes racines grenobloises (j’y ai vécu jusqu’à 20 ans) m’aident, par ailleurs, à garder les pieds sur terre, à relativiser la renommée, à garder un équilibre.
6-Comment t’a-t-on transmis et comment transmets-tu ta passion ?
Ma passion m’a été transmise par mon père, bien sûr, mais aussi par mon professeur d’éducation physique et sportive au collège de Grenoble, M. Bardoud. C’est lui qui m’a donné le déclic pour m’engager professionnellement.
7-Comment expliquerais-tu ta place et ton rôle au sein d’une équipe ?
J’occupe la position d’ailier, je finis les actions. Je suis également un électron libre, je participe à l’action avec la liberté de me déplacer où je veux sur le terrain. Les postes sont attribués en fonction du physique.
8-Quelle est ta plus belle découverte ou aventure ?
La découverte du sport. Elle m’a donné beaucoup de confiance en moi, car plus jeune, j’étais très timide.
9-Comment te reconnais-tu dans les valeurs de JEANRICHARD ?
Mon partenariat avec JEANRICHARD m’a permis de faire de nombreuses rencontres avec des gens qui me correspondent. Les objectifs de la marque me plaisent. J’aime le produit, sa simplicité. Je ressens également un excellent «feeling» au niveau du discours.
10-Quelles valeurs te ressemblent le plus ?
Je suis persévérant, têtu. Je m’accroche, parce que je suis un compétiteur. J’accepte la critique et je me remets en question. J’essaie de rester moi-même avant tout, de ne pas avoir la grosse tête, grâce à l’éducation que j’ai reçue.
11- Pour quelles causes t’investis-tu ?
Je soutiens l’action «Dessine-moi une maison», qui vise à accueillir des familles dont les enfants sont hospitalisés depuis longtemps. Je m’engage également en faveur d’«Entendre le monde», une association qui forme des chirurgiens ORL afin de soigner des enfants dans les pays du Tiers-Monde.
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