Kari a lui-même insisté, en retour, sur ce qui rassemble et caractérise selon lui les créateurs horlogers indépendants dont EKSO Watches se fait l’ambassadeur : une certaine forme de résistance à la surenchère de la production commerciale, la limitation volontaire à un volume restreint de pièces réalisées et, bien sûr, une qualité sans concession et irréprochable dans le moindre détail. Il n’a d’ailleurs pas oublié d’associer au Prix reçu la quinzaine de collaborateurs qui l’assistent ainsi que les amateurs qui suivent et apprécient ses modèles de par le monde : particuliers et associations, soutiens et amis.
La soirée a ensuite fait l’objet d’échanges directs très appréciés entre Kari et les invités pour lesquels c’était souvent la première occasion de le rencontrer. Les discussions ont été animées, souvent très pointues et ont manifestement ravi l’hôte d’honneur !
Au fil des conversations, certaines pièces sont sorties des vitrines de la Galerie pour être admirées et commentées, telle cette nouvelle pensionnaire au cadran gravé dans le style « Art Déco » et qui a fait sensation.
Pour couronner le tout, Kari n’était pas venu seul de Suisse : Andreas Strehler, représenté également désormais chez EKSO Watches, était non seulement présent mais avait aussi apporté dans ses bagages la maquette de sa fameuse « Sauterelle », un remontoir d’égalité de son invention dont la démonstration a fait l’admiration des participants.
Rappelons d’ailleurs qu’Andreas et Kari ont conçu et réalisé ensemble, pour les Maîtres du Temps, la « Chapter Three », montre à secrets parfaitement illustrative d’une coopération exemplaire entre créateurs indépendants.
Ludovic Ballouard, aussi grand de taille que de talent, connu en particulier des passionnés pour ses modèles Upside/Down et Half Time, était également de la fête…
Un moment parfait, des maîtres horlogers et des invités tous ravis, des montres et des sourires : le cocktail idéal en quelque sorte !
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Pour Passion Horlogère : Rédaction Luc J. / Photographies Michel P.V. et Edouard B.
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