Etre un horloger français, passionné de rugby et vivant en Angleterre peut sembler une aubaine en période de coupe du monde outre manche. Avoir été supporter de ces deux équipes quand l’une n’est pas sortie de la « poule de la mort » et l’autre a pris une « déferlante noire » peut sembler plus « compliqué » à gérer. Mais c’était sans compter sur le « ticket gagnant » qui pourrait en décider autrement. Car Alexandre Meerson qui aurait pu être en déprime totale après avoir vu deux de ses équipes favorites terrassées peut rebondir fièrement en soutenant celui qui a été annoncé comme premier Ambassadeur de la marque il y a quelques semaines.
Adam Ashley Cooper, ce nom vous évoque sans doute quelque chose si vous suivez la coupe du monde de rugby ? Pour mémoire, l’ailier australien a marqué un triplé en demi-finale face aux virevoltants argentins. Et avant ça un doublé face aux vaillants écossais en quart de finale.
L’international Wallabie ne compte pas moins de 113 sélections et peut jouer aux postes de centre, arrière, ou ailier, si on le lui demande. Il est même surnommé le « couteau Suisse » de l’équipe d’Australie. Il est reconnu pour ses qualités rugbystiques mais aussi et surtout pour ses énormes qualités humaines qui font dire à son sélectionneur qu’il est avant tout « son ami ».
Pas de doute qu’à 31 ans, celui qui va probablement disputer son dernier match en équipe d’Australie ce soir, en finale de la Coupe du Monde face aux All Blacks néo-zélandais, et qui va ensuite rejoindre l’Union Bordeaux-Bègles pour 2 saisons, donnera tout pour entrer au panthéon des grands joueurs en aidant son équipe à décrocher un 3e sacre mondial, synonyme de record.
Et il pourra compter sur le soutien de son premier supporter qu’est Alexandre Meerson. Car bien que soutenant son Ambassadeur à 200%, pour lui, cette Coupe du Monde est déjà victorieuse quel que soit le résultat.
Rendez-vous ce soir à 17h pour le coup d’envoi de la finale Australie – Nouvelle-Zélande.
Pour en savoir plus sur Alexandre Meerson. Pour en savoir plus sur Adam Ashley-Cooper, lisez cet article paru sur Le Figaro.
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