Ce mercredi 24 Mars, je faisais donc partie de la France qui se lève très tôt pour partir à la découverte du salon de Bâle 2010 ! J’avais pris le premier métro un jour de grève mais tout est allé pour le mieux ! 3h34 de TGV, c’est long mais en étant organisé ceest plus simple : Le Figaro, un jus de fruit, un café et des chocolats pour patienter !
L’arrivée en Gare de Bâle est impressionnante et les différentes nationalités des trains rappellent au voyageur que l’on est à un carrefour de l’Europe.
La ville de Bâle est très jolie, je regrette vraiment de n’avoir pu la visiter !
La signalisation pour se rendre au Baselworld était très claire, le suisse-allemand moins !
Acheter un aller-retour Gare SBB-CFF / Messeplatz relevait de l’exploit ! Le drapeau de la ville m’a beaucoup plû :
… comme son Hôtel de Ville d’ailleurs :
L’arrivée au salon confirme l’impression de gigantisme de la foire, le salon des belles montres à côté c’est le Rolex Corner des Galeries Lafayette !
La sécurité omniprésente et le badgeage obligatoire à l’entrée et à la sortie renforcent cette sensation ! La foule au Hall 1 était impressionnante et mis à part Jean-Claude Biver que j’ai pu saluer et remercier pour son invitation et Allan Casale de chez Cuervo Y Sobrinos, l’accueil manque de chaleur ! C’était donc parti pour une tournée de ramassage de catalogues et de goodies. De passage chez Glashütte, j’ai croisé Tokage , chef de file de la délégation Belge ; et Guy67, chef de file des alsaciens ! Le hall1 fût plié en 1h, direction le Hall 4.1 et les indépendants ! Lionel Ladoire étant parti en vadrouille dans les allées du salon, je suis passé voir Guillaume Tétu chez Hautlence, qui m’a présenté deux mallettes et un proto. A la fin de la séance, j’ai eu la chance de croiser ses parents venus pour leur première fois au Baselworld, le côté familial des indépendants, c’est plus que sympathique !
Je suis passé ensuite chez 4N, pour voir la démonstration de leur future montre. Au stand d’à côté, il y avait Laurent Ferrier et son magnifique Tourbillon. Il a pris le temps de me parler de sa montre. En quittant le Hall 4.1, j’ai croisé Jessica, la sculpturale blonde qui officiait sur le stand Cabestan au salon des belles montres à Paris, toujours aussi jolie !
Midi sonnant, il me fallait rejoindre la délégation Alsacienne chez Stowa au 57 Clarastrasse, niveau -2 (j’ai bien mis 10 minutes à trouver !). Première rencontre avec Jorg et Régine Schauer, les parents de mes belles Stowa, séquence émotion ! Merci à Guy67 pour ses traductions et aux Schauer pour leur accueil, une fois encore ils nous ont gâtés par leurs nouveautés !
La pièce qui m’a le plus surpris, cette B-Uhr des années 30 de 55mm, elle jurait à mon poignet mais allait parfaitement à notre ami Cheminal67 ! Il était 13h50, quand nous nous sommes dirigés vers le Ramada Plaza pour visiter le salon Vulcain ! La vue sur Bâle était imprenable et l’accueil de Monsieur Christian Suter fût plus que chaleureux.
14h00, l’heure de rejoindre le salon adjacent qui hébergeait Moser. C’est M. Eric Moser, le président de la manufacture qui nous a accueillis, un peu surpris que des passionnés jouent aux VRP au Baselworld !
15h00 déjà, nous foncions vers notre ultime rendez-vous de la journée : Zenith ! Et c’est Madame Andrea Csiki qui fût notre hôte… et là que de belles choses ! Jean-Frédéric Dufour a fait avec son équipe un travail titanesque : il a réussi à rendre à Zenith ses lettres de noblesse, nous sommes tous tombés sous le charme ! Pour ma part, la Zénith Elite Or rose, cadran chocolat est devenue mon objectif ! Nous nous quittons la tête remplie de belles images et les sacs pleins que de catalogues !
17h00, un dernier tour au point presse pour récupérer les magazines horlogers disponibles et je fonçais vers la Läckerli Huus (la maison du Läckerli) pour faire le plein de ma gourmandise préférée ! J’ai repris une dernière fois le tram qui serpente dans les rues de Bâle, il y avait beaucoup de belles choses à voir, je reviendrais c’est sûr, mais à une autre période que celle du Baselworld !
Crédit photo et récit de Boris M.
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