Christophe, membre de Passion Horlogère, est un amateur de belles montres et collectionne particulièrement les productions de la marque Grand Seiko. Cette production nippone faisant partie du groupe Seiko est présente en France depuis la politique de globalisation de la marque engagée par Shinji Hattori en 2010. Mais la marque existe depuis de nombreuses années et était réservée jusqu’alors à la seule clientèle japonaise. Cette particularité donne tout son intérêt à la production érudite d’un collectionneur passionné par cette marque hors du commun. Nous vous invitons à découvrir ce modèle issu de la collection historique qui rend hommage à la référence 62GS.
Thierry Gasquez
A MODELES HISTORIQUE
A.1 Les certifications “Chronometer” et Grand Seiko à la fin des années 60
A.1.1 Utilisation du label “Chronometer”
Seiko utilise déjà le sigle “Chronometer“ sur le cadran de certains modèles avant les années 60 (en particulier autour des années 20 – 50). Les modèles Cal.10 en sont un exemple. Ce terme de “Chronometer” est soit utilisé pour les chronomètres de marine, soit pour des montres dont la qualité est supérieure à la production normale. Aucun programme de test n’est associé à ce label.
C’est au début des années 60 que Seiko décida d’utiliser le sigle “Chronometer” dans un cadre de labellisation pour des montres spécifiques précises, les montres Grand Seiko rentrant dans cette catégorie.
Ce label n’était n’avait aucun lien avec le standard suisse “Chronometer” du “Bureau officiel de contrôle de la marche des montres – B.O.”, organisation précédant le COSC) mais un certificat officiel développé en interne par Seiko au sein de l’établissement de Suwa (Suwa Seikosha).
Cependant, ce standard Seiko suivait la précision moyenne que le BO avait imposée : (-3s; +12s/j).
Durant cette période, les montres labellisées ”Chronometer” possèdent au dos un médaillon en or avec un lion gravé. Il est important de comprendre que pendant cette période, ce médaillon n’est pas l’emblème des modèles “Grand Seiko”, mais la preuve d’une extrême précision ou le passage avec succès des tests “Chronometer” internes à Seiko.
A.1.2 Le label Grand Seiko
En parallèle, avec la volonté d’être indépendant, Seiko décida de développer son propre standard. Le label « Grand Seiko ».
Précision moyenne [sec/jour] | ||
Année | Standard GS | Standard BO’s “Chronometer” |
1960 | (-3; +12) 1er standard de la collection GS Mêmes valeurs que les modèles Seiko “Chronometer” |
(-3; +12) |
Année inconnue | (-1, +10) Second standard de la collection GS |
1961: (-1; +10) |
1967 | (-3; +5) Nouveau Standard GS |
Idem |
1973 | Idem | COSC: (-4; +6) |
1998 | Ajout de la 6ème position de test Certaines valeurs sont changées par rapport au standard précédent |
Idem |
Au milieu de l’année 1966, le CICC (“Commission Internationale des Contrôles Chronométriques”) revendique que le label “Chronometer” ne soit qu’accessible aux montres ayant passé avec succès la certification au sein du laboratoire de Bâle ou des établissements de certification du CICC [1].
C’est à ce moment que Seiko commença à ne plus mentionner le terme de “Chronometer” sur ses cadrans à l’exception des modèles ayant passé la certification Suisse avec succès (Exemple de l’Astronomical Observatory “Chronometer” en 1969).
En réalité, pour éviter toute confusion, Seiko prend l’habitude d’afficher les mots “Officially Certified” sur les cadrans de ces modèles.
Note:
[1] Le CICC autorisa le JCA (Japan “Chronometer” Association créée en 1969) à délivrer la certification “Chronometer » en janvier 1970.
A.2 6245/6246 Les Seikomatic “Chronometer”, les précurseurs de la 62GS
Les 6245/6246 Seikomatic “Chronometer” appartenaient comme les modèles 57GS et 44KS/44GS à cette période de transition entre les labels “Chronometer” et “GS”.
- Le calibre 6245A est un mouvement automatique de 35 rubis avec la date comme seule complication. Le nombre d’alternances est de 19800 par heure.
- Le calibre 6246A est un mouvement automatique de 35 rubis avec le jour et la date. Le nombre d’alternances est de 19800 par heure.
Ces mouvements proviennent d’une longue famille de calibres utilisés par les modèles Seikomatic, commençant par les calibres 6201, 6205, 6219, 6206, 6218 et finalement le 6216 à 39 rubis, 19800 alt./h, jour et date.
Même si le calibre 6245/6246 est fondé sur la famille des 62, la finition des éléments et le processus d’assemblage est totalement différent.
Les Seikomatic affichaient le terme “Chronometer” sur le cadran ; ce dernier était également gravé sur le rotor du mouvement.
D’un point de vue design, ces modèles sont très distinctifs. Le boîtier est composé d’une multitude de facettes polies. La couronne est positionnée à 4h.
Le plus intéressant pour ma part est l’absence de lunette, permettant d’admirer l’impressionnant cadran argent et les aiguilles polies. Comme il était de coutume à cette période pour les modèles “Chronometer”, ces montres possédaient au dos un médaillon en or 14 ct représentant un lion.
A.3 Et les modèles 6245/6246 Seikomatic “Chronometer” devinrent les 62GS
A.3.1 Période de transition
Principalement, les modèles 62GS sont des Seikomatic “Chronometer”. Mais du fait de l’interjection suisse en 1966, Seiko décida de totalement changer le nom de ces modèles. Une seconde conséquence et pas des moindres, est la précision : les modèles 62GS ne sont plus labellisés Chronometer” car leur nouveau standard est le label GS.
Toutes les montres 62GS suivent la une précision moyenne journalière de (-3s; +5s) et cela même si le mouvement a été assemblé en 1966.
Finalement, la 62GS est commercialisée comme étant le premier modèle automatique de la collection GS.
A.3.2 Le design
Seiko a gardé la même construction sans lunette avec la couronne positionnée à 4h. Mais, à l’opposé des autres modèles GS de l’époque, la couronne n’a aucun logo, no « GS » ni « Seiko ».
Les premiers modèles de la 62GS avaient un médaillon en or 14 ct représentant un lion, comme les Seikomatic. Ce médaillon sera finalement modifié et remplacé par un médaillon représentant le signe « GS ». De plus, le terme “Chronometer” n’est plus gravé sur le rotor.
Les modèles 62GS – 6245 gardèrent le même cadran que les modèles Seikomatic. La référence du cadran est 6245-9000TAD. Les index sont larges et la partie biseautée des aiguilles est très étroite. Ce design est également utilisé pour les 62GS – 6246 sous la référence 6246-9000TAD.
En mai 1967, le cadran des modèles 62GS – 6246 est changé. La nouvelle référence est 6246-9010TAD et est proche du design des 57GS et 44GS. Les index deviennent moins larges et sont composées de plusieurs facettes beaucoup plus visibles. La forme des aiguilles des heures et minutes est totalement revue. Ce changement se retrouve aussi sur les 6245.
A.4 Sources contradictoires
J’ai lu deux sources principales concernant les références 9000/9001 et les mois de production des modèles 6245/6246. Cette période est une réelle période de transition pour Seiko et la transition des modèles 6245/6246 Seikomatic vers les 62GS n’est pas très connue ni documentée.
Une des sources explique que la référence 9000 est relative aux modèles Seikomatic avec le terme “Chronometer” sur le cadran et le rotor gravé. Les références 90001 seraient alors relatives aux mouvements 6245/6246 dédiées aux 62GS.
La seconde source au contraire indique que les références 9000 et 90001 ont bien utilisées pour les 62GS avec les dates de production suivantes :
Modèles Seikomatic:
- 6246 (boite acier) : De juillet 1965 à août 1966 (13 mois),
- 6246 (boite plaquée or) : Mai 1966,
- 6245 (boite acier) : D’octobre 1965 à octobre 1966 (12 mois),
- 6246 (boite plaquée or) : Mai 1966.
Modèles 62GS :
- 6246-9000 (boite acier) : D’août 1966 à octobre 1966,
- 6246-9001 (boite acier) : De janvier 1967 à juillet 1968,
- 6246-9001 (boite plaquée or) : D’avril à Juin 1967,
- 6245-9000 (boite acier) : Novembre et décembre 1966,
- 6245-9001 (boite acier) : De novembre 1966 to juillet 1968.
- Les premiers modèles 62GS possédaient un médaillon en or 14 ct représentant un lion comme les Seikomatic. Ce médaillon sera changé pour le médaillon représentant le sigle «GS»,
- Le terme “Chronometer” n’est plus grave sur les rotors des modèles 62GS,
- Les deux modèles ont été fabriquées et assemblés dans l’établissement de Suwa (Suwa Seikosha),
- La production des Seikomatik se fait pendant les années 1965 et 1966. La production des 62GS s’est étendue sur les années 1966, 1967 et 1968.
B HOMMAGE A LA 62GS: LA SBGR095
B.1 La nouvelle collection 62GS
L’année 2015 a vu le 55e anniversaire de Grand Seiko. Après avoir réédité la 44GS de 1967 en 2013, Seiko décida de rendre hommage à la première montre automatique de la gamme GS, la 62GS.
La nouvelle collection 62GS possède 8 références. 4 sont des rééditions du modèle original avec un mouvement automatique et 4 sont une réinterprétation moderne avec les mouvements les plus avancés chez Grand Seko, incluant le Spring Drive. Toutes sont des éditions limitées.
B.1.1 Les rééditions
- SBGR095, acier (65.8g), série limitée de 600 pièces monde,
- SBGR091, or blanc 18K (96.0g), série limitée de 100 pièces monde,
- SBGR092, or jaune 18K (95.0g), série limitée de 100 pièces monde,
- SBGR094, or rose 18K (93.0g), série limitée de 100 pièces monde.
Les autres spécificités communes sont décrites dans la suite.
B.1.2 Les versions réinterprétées
- SBGH037, calibre Hi-Beat 9S85, cadran argent, acier, 1000 pièces monde,
- SBGH039, calibre Hi-Beat 9S85, cadran marron, acier, 700 pièces monde,
- SBGA125, calibre Spring Drive 9R65, cadran crème, titane haute-densité, 1000 pièces monde,
- SBGA127, calibre Spring Drive 9R65, cadran bleu, titane haute-densité, 700 pièces monde.
B.2 Revue du modèle SBGR095
B.2.1 Le boîtier
La 62GS originale possédait un boîtier multi-facettes, des aiguilles aux extrémités comme des rasoirs et une construction sans lunette permettant une large ouverture de cadran.
L’hommage à la 62GS, la SBGR095 reprend l’ensemble de ces caractéristiques dans un boîtier légèrement agrandi, plus en proportion avec les tendances actuelles.
62GS originale | Rééditions (dont SBGR095) | |
Hauteur | 41 mm | 42.5 mm |
Largeur | 36.5 mm | 37.6 mm |
Epaisseur | 11.4 mm | 12.9 mm |
Le boîtier en en acier inoxydable. Chaque facette est polie par les artisans les plus habiles et les plus expérimentés. Ce processus connu sous le terme de polissage Zaratsu ou polissage de lame consiste à minutieusement passer sous un angle bien défini du fer blanc sur les parties à polir. La finition obtenue ne présente aucune imperfection et est incroyable à regarder à la loupe et également une gageure à photographier !
La partie supérieure du boîtier entre les cornes n’est pas polie.
Vue de côté, la partie centrale du boîtier semble prise en sandwich entre le saphir et le dôme inverse du fond.
Personnellement, je suis impressionné par deux points :
- Les arêtes droites et vives de chacune des facettes tout le long du boitier. Je suis définitivement un amoureux de la 44GS et je ressens cette même intense expérience avec ce design coupé à la serpe.
- La jonction entre les cornes et le boîtier. Les cornes semblent rejoindre le bord du verre. Magique !
B.2.2 La lunette
Il n’y pas de lunette. Le verre est directement fixé au boîtier. Cela amplifie l’ouverture du cadran et des facettes polies.
B.2.3 La couronne
Honnêtement, lorsque Seiko présenta la nouvelle collection 62GS, j’avais été très impressionné par le modèle réinterprété SBGH039. Finalement, c’est ce positionnement de la couronne à 4h qui m’a convaincu que le modèle SBGR095 me conviendrait mieux. Et… je ne suis pas déçu.
L’extrémité de la couronne n’a pas de logo et est légèrement pointu.
Spécifications:
- Remontage manuel,
- Changement rapide de date (1er cran),
- Réglage de l’heure (2e cran avec stop-seconde).
B.2.4 Le verre
Le verre saphir possède un traitement antireflet de façon à améliorer la lecture et réduire la réverbération. Le verre est légèrement bombé sur ces deux faces et s’élève environ 1 mm au-dessus de boîtier, accentuant la profondeur de cadran au même titre que l’absence de couronne.
B.2.5 Le fond
Comme expliqué par Seiko sur le site dédié à la nouvelle collection 62GS, l’emblème ainsi que les indications ont été reproduits de la façon la plus fidèle. Cependant, le médaillon n’est pas en or et certaines indications ont été modifiées.
Le médaillon du modèle SBGRR095 possède un lion gravé comme sur les premiers modèles 62GS. Ce n’est donc pas le logo GS que Seiko adoptera sur les modèles 62GS suivants et qui deviendra l’emblème de la collection GS.
Les indications autour du médaillon sont :
- La référence du mouvement (9S65-00R0 dans le cas présent) : Nécessairement différent du modèle original,
- La dénomination “Water proof” est remplacée par la nouvelle désignation “water resist 10bar” (étanchéité de 10bar),
- L’acronyme “SS” est remplacé par “stainless steel” (acier).
Le numéro de série de la montre a été remplacé par plusieurs indications :
- Edition limitées de 600 pièces monde,
- “Made in Japan”
- La spécification de la résistance magnétique (jusqu’à 4 800 A/m). Cela n’était pas indiqué sur le modèle original. C’est en conformité avec le standard ISO764:2002.
- La lettre “A” ainsi que le “A4” entouré, que l’on trouve sur le nouveau modèle sont des classifications internes Seiko.
Et finalement, la SBGR095 possède un fond vissé ce qui participe bien sûr à l’étanchéité de 10 bars et permet une protection optimale contre la poussière et la sueur.
B.2.6 Le Cadran
Le cadran est totalement plat (caractéristiques que Taro Tanaka exprimera dans sa grammaire du Design).
Sa littérature consiste en 5 lignes avec des fonds différentes. “Seiko” et le logo “GS” sont en acier et sont légèrement décollés du cadran. Le terme “Automatic” est imprimé à proximité.
“Grand Seiko” et “Diashock” sont imprimés à 6h comme le minuscule “JAPAN 9S65 – 00L0 R 2″.
Pas de chiffre arabe ni romain. De très fins index représentent les minutes et sont tout juste visibles, mais ils se reflètent sur l’épaisseur du cristal. Du fait de la construction sans lunette, l’ouverture du cadran est large et la visibilité est absolument impressionnante.
B.2.7 Les aiguilles et les index
Le cadran référence utilisé par Seiko est le cadran 6245-9000TAD que l’on trouvait originalement avant qu’il soit supplanté par la référence 6245-9010TAD.
Cela signifie que l’on retrouve de larges et plats index. Les index sont en acier et appliqués sur le cadran. Ils sont composés de 9 faces totalement polies.
L’index à 12h est double.
Les index sont tout simplement superbes et un délice à contempler à la loupe.
Les aiguilles sont également en acier de type dauphine pour les heures et minutes et d’impressionnantes arêtes vives. La partie supérieure est polie tandis que les facettes latérales, quasiment imperceptibles à l’œil nu sont brossées.
Les aiguilles et les index participent donc à la parfaite lisibilité dans toutes les conditions de lumière. Ils témoignent tant de de la perfection des détails que de la constance dans la recherche des jeux de lumière.
B.2.8 Le guichet de date
Le guichet de date se trouve à 3h. Son fond semble être de couleur crème et le lettrage noir est fin. Il est surmonté par un encadrement en acier poli.
Le changement de date se réalise ente 23h30 et 00h30.
B.2.9 Le mouvement
A l’origine, le modèle 62GS n’est pas un modèle Hi-Beat. Seiko décida de garder cette caractéristique pour les modèles réédités. Les technologies Hi-Beat et Spring Drive ne sont utilisées que dans les modèles réinterprétés.
Le mouvement utilisé est le mouvement 9S65 introduit en 2010 et dédié à Grand Seiko.
Les caractéristiques sont:
- 28 800 alt./h,
- Mouvement automatique inclut un mécanisme de remontage manuel. Le remontage manuel n’était pas disponible sur le modèle original.
- 72h de réserve de marche,
- 35 rubis,
- Mécanisme antichoc Diashock,
- Spiral du balancier fabriqué dans un autre alliage antimagnétique et résistant aux chocs baptisé “SPRON 610”,
- Certification GS: Précision moyenne journalière de +5 à -3 secondes (précision quotidienne moyenne relevée en conditions statiques). Seiko précise qu’en conditions réelles, cela signifie une précision moyenne d’environ de -1 à +10 secondes jour
B.2.10 Le bracelet et la boucle
Le bracelet est en alligator noir, doublé cuir et signé. Les écailles s’intègrent parfaitement avec le design de la boîte. Je pense que Seiko a réalisé un excellent travail en termes de goût et de cohérence.
La boucle est une boucle ardillon en acier. Elle ne possède pas l’inscription « Grand Seiko » comme beaucoup de séries limitées mais simplement le terme « SEIKO » dans la même police que celle du cadran.
B.2.11 Le porté
Les parties du fond de la boîte en contact avec la peau sont réalisées avec des arêtes arrondies. Des proportions parfaites ainsi qu’un porté irréprochable font de ces 65,8 g un réel plaisir à porter.
Comme je l’ai dit auparavant, je suis tombé amoureux de la SBGR095 avec son design à “coups de serpe”. Mais honnêtement, j’ai une petite crainte. Le boîtier semble sensible aux coups, en particulier sur les arêtes. Le futur nous le dira, mais il est vrai qu’une montre doit être portée avec les stigmates des épreuves vécues au poignet de son propriétaire pour pouvoir, un jour, avoir une histoire.
B.2.12 Spécifications (Seiko Corp.)
Référence : SBGR095
Edition limitée : COLLECTION GRAND SEIKO HISTORIQUE
Nombre de pièces monde : 600 pièces
Mouvement : Automatique avec mécanisme de remontage manuel
Calibre :9S65
Boitier : Acier inoxydable
Verre Saphir haute-définition
Revêtement : Revêtement anti-réflexion sur la surface interne
Lumibright : Sans
Précision : +5 à -3 secondes par jour (Position stable); Cette précision est le résultat de la mesure du gain et de la perte de temps lors de 17j de tests avant que le mouvement soit assemblé dans le boitier. Ces mesures ont été réalisées dans un environnement où la température et la position du mouvement sont contrôlées. Lorsque la montre est portée, la précision devrait être comprise entre -1 sec/j à +10 sec/j.
Etanchéité : 10 bars
Résistance magnétique : 4800 A/m (60 gauss)
Poids : 65.8 g
Dimension boîtier : Diamètre 37,6 mm, Epaisseur 12,9 mm
Remarques : Fond vissé, 35 rubis
Réserve de marche : 72h
Christophe B. pour Passion Horlogère
Pfffffffffffff, quel bel article, quel travail de recherche et de rédaction!
Des félicitations aussi nombreuses que la somme de boulot (et de passion 😉 )
Des remerciements aussi chaleureux que sont charmantes ces belles.
Très cordialement,
Didier
Merci,
Nous transmettons vos félicitations à l’auteur de cet article qui les apprécieras sans aucun doute.
merci pour votre article , j ‘ai appris pleins de détails