En 2015, Alexis Mabille fête les 10 ans de sa maison de couture. Il a choisi quelques modèles de la collection de montres Jaeger-leCoultre pour accessoiriser ses tenues Haute Couture et immortalise cette association dans un livre réalisé par Matthew Brookes.
« Beaucoup pensent que la Haute Couture se résume à quelques chiffres, règles et techniques gravées dans le marbre: nombre de couturières et d’heures nécessaires pour la confection d’une robe, méthodes artisanales et matières utilisées… Selon moi, la Haute Couture représente bien plus encore. Son vrai visage, c’est un rapport intime, sensuel et passionné, un savoir-faire exceptionnel au service d’un individu, de la femme. »
Cette citation d’Alexis Mabille prouve qu’artistes de Haute Couture et artisans d’horlogerie se retrouvent autour de valeurs communes. Derrière chaque création se cache un savoir-faire particulier. Cette maîtrise technique met en avant la passion des hommes et des femmes qui travaillent pour transformer un objet en chef d’œuvre. C’est cette passion commune qui a provoqué la rencontre entre le couturier et la manufacture horlogère.
Les fidèles amis d’Alexis Mabille (Bérénice Bejo, Mounia Orosemane, …) se sont retrouvés dans ce livre pour célébrer l’art et la créativité.
Bérénice Bejo
MANUFACTURE JAEGER-LECOULTRE
Depuis sa fondation en 1833, la Manufacture est un acteur audacieux de l’univers de la Haute Horlogerie. La montre sans clé, les régulateurs silencieux pour les montres à répétitions, le Calibre Jaeger-LeCoultre 101 d’à peine 1 gramme, l’iconique Reverso ou encore des concepts inédits comme le Dual-Wing®s’inscrivent dans la richesse du patrimoine de Jaeger-LeCoultre. Les 1249 calibres mécaniques développés et 413 brevets déposés illustrent la passion créative des hommes et des femmes de la Grande Maison.
Héritiers de l’esprit d’invention du fondateur de la Manufacture Antoine LeCoultre, nos artisans unissent leur savoir-faire pour surprendre et enchanter les amateurs de beaux objets. Unique, l’histoire de chacune de nos montres commence dans les ateliers de la Vallée de Joux et prend réellement vie au poignet de celui ou celle qui la porte, qui la fait sienne.
Laisser un commentaire