Passion Horlogère partage avec tous les passionnés d’horlogerie et de sport mécanique, l’expérience de la 79e édition des 24 Heures du Mans à travers le prisme du chronométreur officiel de l’épreuve : ROLEX.
Nous remercions ROLEX S.A., toute l’équipe de communication présente au Mans, ainsi que toute l’équipe de la boutique Rolex « Les Montres » qui ont partagé avec nous impressions, informations et photographies.
Thierry GASQUEZ
Président
PRESENTATION DE LA 79E EDITION DES 24 HEURES DU MANS
L’une des courses les plus fascinantes au monde.
Créées en 1923, les 24 Heures du Mans sont la plus ancienne et la plus prestigieuse course automobile d’endurance au monde. Chaque année depuis plus de quatre-vingts ans, au mois de juin, quand les jours sont les plus longs et les nuits les plus courtes, les marques automobiles de pointe et les pilotes de renommée internationale s’y donnent rendez-vous.
Cette grande épreuve est organisée par la Société Sportive Professionnelle de l’Automobile Club de l’Ouest (SSP-ACO) sur le « Circuit des 24 Heures », long de 13,629 km et situé non loin du Mans, à quelque 200 km au sud-ouest de la capitale française, Paris.
Le départ sera donné le samedi à 15h, quelles que soient les conditions météorologiques. Plus de soixante équipages de trois pilotes se relayeront tout au long de cette édition 2011 au volant de leurs machines dans une épreuve où la fiabilité mécanique sera aussi cruciale que la résistance physique et mentale des conducteurs.
Sera déclaré premier, l’équipage qui aura parcouru la plus grande distance en vingt-quatre heures, une distance dépassant souvent les 5 000 kilomètres.
Un circuit de légende
Le Circuit des 24 Heures, qui accueille l’épreuve, présente la particularité d’être mixte et non permanent en ce sens qu’il est constitué à la fois de routes normales habituellement affectées à la circulation et de tronçons du circuit Bugatti, construit en 1965 et également utilisé pour d’autres compétitions.
Une histoire centenaire ponctuée de moments inoubliables
Le Mans est l’un des berceaux de l’industrie automobile en France. En 1906, à une époque où les propriétaires d’automobiles étaient rares, un petit groupe de pionniers originaires de la région eut l’idée de fonder l’Automobile Club de l’Ouest (ACO) puis d’organiser le premier Grand Prix de l’Automobile Club de France sur circuit fermé, considéré comme l’ancêtre des Grands Prix de F1 actuels.
Le succès retentissant des courses d’endurance informelles qui suivirent précipita la création des 24 Heures du Mans en 1923. Sur les trente-trois participants à cette première édition, trente terminèrent la course.
Dans l’esprit de ces pionniers, la compétition avait pour objectif de contribuer à l’évolution des progrès techniques liés à l’automobile et de favoriser l’essor de cette industrie naissante. Durant de nombreuses années, le départ des 24 Heures du Mans fut le théâtre d’un rituel spectaculaire. D’un côté de la piste se tenaient, tendus, les pilotes. De l’autre, garées en épi, se trouvaient les voitures. Au moment du départ, les pilotes traversaient la piste en courant pour se jeter au volant de leurs bolides et démarrer en trombe. Malheureusement, de nombreux accidents émaillèrent ces départs précipités.
En 1969, pour manifester clairement son désaccord avec cette pratique dangereuse, le pilote belge Jacky Ickx traversa la piste en marchant. Parti bon dernier, il finit toutefois par l’emporter – à l’arraché – avec son coéquipier Jackie Oliver, avec 120 mètres d’avance à peine au terme d’un finish époustouflant. En 1970, les organisateurs décidèrent de modifier le départ : désormais, les pilotes démarreraient au volant de leur voiture.
Au fil des années, certaines portions du circuit sont devenues mythiques, comme le virage du Tertre Rouge ou la ligne droite des Hunaudières, longue de cinq kilomètres, sur laquelle les voitures ont régulièrement approché les 400 km/h pendant une minute. En 1990, des chicanes furent installées sur ce tronçon pour d’évidentes raisons de sécurité. La renommée des 24 Heures du Mans est telle qu’elle a de tout temps attiré des célébrités au-delà du cercle des pilotes professionnels. C’est ainsi qu’en 1970, l’épreuve servit à la fois de sujet et de décor au film Le Mans, avec Steve McQueen, l’un des acteurs hollywoodiens les plus liés à l’univers de la course automobile. Et en 1979, l’acteur Paul Newman, autre grand passionné des sports mécaniques, s’y classa 2e.
Des bolides dédiés à l’endurance
Alors que toutes les voitures engagées concourent en même temps, elles sont réparties en quatre catégories principales. Les deux catégories phares sont les LM P1 et LM P2 (Le Mans Prototypes 1 et 2) construits à l’unité. Viennent ensuite les Le Mans Grand Tourisme dérivées de voitures de série et subdivisées en LM GTE Pro et LM GTE Am. Bien qu’il soit hautement probable que la victoire absolue aille à une voiture de la fameuse catégorie LM P1, il est arrivé qu’une voiture d’une autre catégorie remporte la course grâce à une meilleure fiabilité.
Les prototypes LM P1 et LM P2
Ces prototypes sont conçus tout spécialement pour les 24 Heures du Mans et pour les courses d’endurance des European Le Mans Series, des American Le Mans Series et des Asian Le Mans Series. Ils disposent d’une carrosserie ouverte ou fermée et se distinguent par leurs caractéristiques techniques, leur poids et leur puissance. Le règlement a été modifié pour la saison 2011. Toutes les voitures sont pourvues de brides à l’admission d’air pour équilibrer autant que possible les puissances entre LM P1 et LM P2. Le diamètre de ces brides varie selon la configuration du moteur : nombre de soupapes, cylindrée, pression de suralimentation (pour les turbos ou compresseurs) et type de carburant (essence ou diesel).
Au niveau de la carrosserie cependant, les aérodynamiciens bénéficient toujours d’une grande liberté de création. Toutefois les nouveaux prototypes se voient adjoindre un appendice de type « aileron de requin » sur le capot moteur afin d’accroître la sécurité. Pour faire face à l’escalade des performances constatée ces dernières années, la puissance des moteurs a été ramenée aux environs de 520 chevaux. L’objectif est de ramener les temps au tour au-dessus de la barre des 3’30’’ sur le circuit du Mans. Mais les ingénieurs peuvent toujours utiliser des moteurs essence ou diesel, atmosphériques comme turbocompressés et tous types de développement hybride peuvent désormais être proposés, couplés à l’essieu avant ou arrière. Le règlement de la catégorie LM P2 a pour priorité de réduire les coûts. L’utilisation de moteurs issus de la série est l’une des conséquences de cette orientation favorable aux structures privées.
Les GTE
Les GT sont dérivées de voitures de sport ou de supercars routières, exclusivement à essence. Elles doivent avoir été produites à 100 exemplaires minimum en version route si elles émanent d’un grand constructeur, ou à 25 exemplaires pour les petits constructeurs. Le règlement GTE reprend 95% des règles de l’ancienne catégorie GT2. Pour accueillir ces voitures de route, deux catégories ont été créées : GTE Pro et GTE Am (pour les pilotes amateurs, les voitures 2010 sont autorisées).
Les voitures engagées en ILMC doivent répondre au même règlement que celui des 24 Heures du Mans. Six ans après sa dernière grande refonte, le règlement des 24 Heures du Mans a beaucoup évolué avec quatre préoccupations majeures : la sécurité, l’environnement, l’équité sportive comme technologique et la maîtrise des coûts. Les règlements techniques détaillés de toutes les catégories sont téléchargeables sur le site : www.lemans.org.
ROLEX ET LES 24 HEURES DU MANS
Depuis 2001, Rolex est partenaire des 24 Heures du Mans en qualité de « Montre Officielle ». Les 24 Heures du Mans suscitent de nombreuses innovations technologiques dont profiteront ensuite les voitures de grande série (freinage, éclairage, consommation, biocarburants, étude de résistance des pneumatiques…). Ces développements concernent aussi bien les performances techniques que la fiabilité, la robustesse et la sécurité.
ROLEX ET LA COURSE AUTOMOBILE
La présence de Rolex dans le sport automobile remonte aux années 1930. A l’époque, le pilote anglais Sir Malcolm Campbell, multi-recordman de vitesse sur terre, portait déjà une Rolex Oyster. Nombre des records de Campbell furent établis sur les plages de Daytona, en Floride. En septembre 1935, au volant de son terrible Bluebird, il fut le premier à franchir la barre mythique des 300 miles à l’heure, atteignant plus de 301 mph, soit environ 484 km/h. Un authentique exploit pour l’époque !
C’est à la fin des années 1950 que naquit la véritable alliance entre Rolex et les sports mécaniques. En 1959, Rolex s’associait au Daytona International Speedway, en Floride, le fameux circuit où, depuis la fin des années 1960, se déroulent les 24 Heures de Daytona. En 1992, Rolex choisissait d’être sponsor principal (« Title Sponsor ») de l’épreuve, devenue entre-temps l’une des plus prestigieuses du monde dans sa catégorie, aux côtés des 24 Heures du Mans. Disputée chaque année, la Rolex 24 At Daytona est la seule compétition de ce type en Amérique du Nord. Cette course de l’extrême a inspiré à Rolex une montre tout aussi exceptionnelle, la Cosmograph Daytona. Conçue pour les amoureux de la vitesse, la Rolex Cosmograph Daytona permet à celui qui la porte de facilement chronométrer des temps et calculer des vitesses horaires moyennes.
Aujourd’hui, Rolex sponsorise trois types de manifestations, dont des épreuves d’endurance :
- La Rolex 24 At Daytona
- Les 24 Heures du Mans
- L’Intercontinental Le Mans Cup
- Et les Grand-Am Rolex Sports Car Series presented by Crown Royal, qui regroupent plusieurs épreuves courues aux Etats-Unis.
Rolex est la « Montre Officielle » des 24 Heures du Mans depuis 2001.
Rolex parraine également des épreuves à caractère historique, dont :
- En Angleterre, le Goodwood Revival consacré aux voitures de course pré-1966,
- Et la Rolex Monterey Motorsports Reunion qui concentre chaque année des centaines de voitures sur le circuit californien de Laguna Seca, à Monterey. Rolex en est le principal sponsor depuis 2001.
Enfin, Rolex s’est associée à des rassemblements consacrant davantage l’élégance des voitures anciennes plutôt que leurs performances en course, dont :
- Le Pebble Beach Concours d’Elegance lancé en 1950 dans le but de présenter les modèles les plus avant-gardistes de l’époque et qui aujourd’hui affiche des « anciennes » extraordinaires. Ce concours, le plus prestigieux au monde dans son genre, a lieu tous les mois d’août à Pebble Beach, en Californie. Rolex en est « Montre Officielle » depuis 1997.
- Le Pebble Beach Tour d’Elegance presented by Rolex créé en 1997 afin d’offrir au public le spectacle de l’élégance des automobiles en mouvement. Rolex est le principal sponsor de ce rendez-vous depuis 2007.
- Et The Quail, A Motorsports Gathering, qui rassemble des voitures de course de légende au cœur de la vallée de Carmel, en Californie. Rolex en est « Montre Officielle » depuis 2005.
Parmi les Témoignages Rolex, on retrouve deux figures emblématiques : Tom Kristensen, huit fois vainqueur des 24 Heures du Mans, et le triple Champion du Monde écossais de F1 Sir Jackie Stewart, l’un des plus grands pilotes de sa génération.
Texte : ROLEX S.A.
BIOGRAPHIES DES TEMOIGNAGES ROLEX
Tom Kristensen
Date de naissance : 7 juillet 1967
Nationalité : danois
Tom Kristensen, fils du champion de Touring Car danois Carl Erik Kristensen, est bien connu pour avoir battu toutes sortes de records. Son palmarès est impressionnant : il a gagné dans les quinze catégories différentes au sein desquelles il a couru ! Et s’il a remporté cinq fois les Douze Heures de Sebring – l’une des plus anciennes et des plus célèbres courses d’endurance aux USA –, ses victoires les plus fameuses sont les huit succès glanés aux légendaires 24 Heures du Mans, dont six consécutifs entre 2000 et 2005, un record absolu dans l’histoire du Mans.
Né à Hobro, au Danemark, Tom a débuté le karting en 1979 à l’âge de onze ans. Sept ans plus tard, il s’adjugeait les Championnats Senior danois et scandinaves et en 1987, le voilà finaliste des Championnats du Monde. Plus tard, Tom Kristensen devint champion de F3 en Allemagne mais aussi au Japon. Puis en 1995, 1996 et 1997, il termina en tête des Championnats internationaux et japonais de Formule 3000 avant de devenir pilote d’essai chez Tyrrell en F1.
A une semaine des 24 Heures du Mans 1997, il manquait un pilote à l’équipe allemande Joest pour épauler Michele Alboreto (ITA) et Stefan Johansson (SWE). Kristensen fit l’affaire et remporta la course avec ses équipiers tout en établissant un nouveau record du tour, un exploit remarquable si l’on se rappelle qu’il n’avait que dix-huit tours d’entraînement au compteur et presque aucune expérience en endurance.
Ses grands succès suivants arrivèrent en 2000 quand il rejoignit Audi qui sortait sa nouvelle R8. Bilan : victoires aux 12 Heures de Sebring et aux 24 Heures du Mans. En 2001 et 2002, nouvelles victoires au Mans, Tom entrant dans l’histoire en 2002 avec ses coéquipiers Frank Biela (GER) et Emanuele Pirro (ITA) pour avoir gagné trois années d‘affilée avec une voiture de la même marque. Audi ayant fait l’impasse sur Le Mans en 2003, Tom Kristensen se retrouva chez Bentley. Avec Guy Smith (GBR) et Rinaldo Capello (ITA), il fit tourner sa Bentley Speed Eight verte 377 fois autour de circuit du Mans, arrachant une nouvelle victoire très convaincante et bien méritée.
En 2004 et 2005, Kristensen revint avec l’Audi R8, à nouveau pour gagner ! Sa victoire de 2004 avec l’équipe japonaise Goh le plaça à égalité avec la légende belge Jacky Ickx, incroyable sextuple vainqueur au Mans. L’année suivante, avec l’American Champion Racing Team, le voilà premier pilote à détenir sept victoires au Mans et autant de fois d’affilée. Rappelons que c’était sa neuvième participation depuis 1997.
C’est en 2006 qu’apparut la nouvelle Audi R10 TDI à moteur diesel. Mais malgré de grandes ambitions et un fantastique début avec cette nouvelle voiture aux 12 Heures de Sebring, Tom et ses équipiers durent s’incliner au Mans. En 2007, c’est sur accident que la voiture de Kristensen dut se retirer alors qu’elle possédait l’avance incroyable de quatre tours. Mais en 2008, les affaires reprennent et avec Allan McNish (UK) et Rinaldo Capello (ITA), il gagne de fantastiques 24 Heures du Mans à la vitesse moyenne de 216 km/h, arrêts au stand, pluie et périodes de neutralisation compris. Huitième victoire et nouveau record pour Tom !
Au Mans en 2009 et 2010, Kristensen et ses équipiers seront troisièmes avec l’Audi R15 TDI. De plus, l’an dernier, Tom Kristensen fut élu « Sportif de la décennie » par deux grands médias, TV2 pour le petit écran et le Berlingske Tidende pour la presse écrite, et nommé « World’s Best Sports Car Driver of the Decade » par le célèbre magazine britannique Autosport. Le pilote danois sera au départ de l’édition 2011 des 24 Heures du Mans, très désireux d’ajouter une nouvelle victoire à son palmarès extraordinaire.
Texte : ROLEX S.A.
Sir Jackie Stewart
Date de naissance : 11 juin 1939
Nationalité : britannique
Sir Jackie Stewart incarne sans conteste l’une des figures les plus emblématiques de la course automobile contemporaine. Près de quarante ans après son retrait de la compétition à la fin de la saison 1973, son aura et son influence continuent d’imprégner un univers qu’il aura énormément marqué tant du point de vue sportif que personnel. Son palmarès en fait l’un des pilotes de Formule 1 les plus titrés des cinquante dernières années tandis que son engagement résolu en faveur de la sécurité des pilotes a profondément influencé la discipline. Sa retraite sportive ne l’a pas empêché de demeurer actif dans le sport automobile.
Avec son fils Paul, il a notamment fondé en 1997 une écurie de F1 qui a duré trois saisons. L’implication de Sir John Young « Jackie » Stewart dans le monde de l’automobile et des sports moteurs remonte à son enfance. Né d’un père garagiste, Jackie – à l’instar de son frère aîné Jimmy – fut très tôt initié à la mécanique puis à la conduite sportive.
Au début des années 1960, après avoir remporté quelques succès locaux, il se vit offrir une séance d’essai en Formule 3. Faisant immédiatement montre de son sens inné du pilotage, le jeune Stewart débuta alors une carrière qui ne tarda pas à devenir glorieuse en Formule 1. En 1964, Stewart remporta sa première course au volant d’une Formule 3. L’année suivante, il débutait en F1 sous les couleurs de l’écurie BRM et décrochait sa première victoire à Monza la même année. Cherchant constamment à surpasser ses concurrents, il totalisait les succès, devenant très vite l’homme à battre.
De 1965 à 1973, Sir Jackie Stewart disputa 99 Grands Prix de F1, remportant 27 victoires, devenant trois fois Champion du Monde (en 1969, 1971 et 1973) et terminant 44 fois sur le podium. Son record de 27 victoires ne fut battu que quatorze ans plus tard, en 1987, par le Français Alain Prost qui disputait alors son 117e Grand Prix. Célèbre en F1, l’Ecossais a également participé aux 24 Heures du Mans 1965 avec Graham Hill (GBR), terminant dixième au classement général avec sa Rover-BRM expérimentale à turbine.
En 1966, sa vie bascula. Victime d’un grave accident sur le circuit belge de Spa-Francorchamps dont il sortit légèrement blessé, il prit soudain conscience de l’obligation d’améliorer la sécurité des pilotes. Il y consacrera désormais toute son énergie. Jackie Stewart s’est également beaucoup impliqué dans la lutte contre la dyslexie, un handicap dont il souffrit dans sa jeunesse.
Texte : ROLEX S.A.
LES COULISSES DE ROLEX AU MANS
Passion Horlogère vous présente les coulisses de ROLEX aux 24 Heures du Mans à travers ce petite reportage photographique réalisé par cet immense passionné d’horlogerie, et plus particulièrement de Rolex qu’est Alexis Francis-Boeuf. Vous le ne connaissez pas encore ? Découvrez-le dans cette interview réalisée par Montres-de-luxe . Alexis fait partie de cette dynamique et sympathique équipe de la boutique Rolex de la rue de Rennes à Paris dirigée par Catherine Lassaussois. Pour la troisième année consécutive, il a participé à la vie de la boutique éphémère ROLEX dans le « village » des 24 Heures du Mans. C’est équipé de son appareil photo qu’il a arpenté, lorsqu’il le pouvait, les recoins du circuit. Voici un panel des quelques 500 clichés qu’il a réalisés.
Merci Alexis
Crédits photos Alexis Francis-Boeuf
Thierry GASQUEZ pour Passion Horlogère
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