« C’est déjà une belle consécration », se réjouit Laurent Katz, CEO Pequignet. « Cela signifie que le Calibre Royal, notre propre calibre développé et manufacturé en interne, rivalise sans difficulté avec des produits suisses reposant sur des décennies, voire des siècles de savoir-faire ».
La Royale Titane fut ainsi l’une des très rares à avoir passé avec succès les tests de la norme ISO 3159, qui n’est autre que la norme de certification du COSC. En théorie, la pièce, ici montée, peut donc déjà prétendre au titre officiel de Chronomètre Certifié, lequel s’exerce traditionnellement sur le mouvement nu.
A présent, Pequignet va tenter de se hisser à la première place de sa catégorie des « montres classiques », celle des pièces équipées d’un régulateur non compensé en position, selon la terminologie officielle de l’organisation.
Après avoir subi ces tests du COSC, la Royale Titane va ainsi se confronter durant plus de trois mois à des agressions sévères de chocs et d’exposition aux champs magnétiques. La précision de la pièce à l’issue de ces tests sera contrôlée par l’Observatoire de Besançon. Les résultats seront dévoilés le 22 octobre 2015 au Sentier, en Suisse.
« Nous ne cherchons pas l’exposition à tout prix mais avançons sur des bases solides et progressives. Ces excellents résultats de notre Royale Titane, que nous avons lancée il y a moins de deux ans, montre la maturité technique de notre Calibre Royal et, plus globalement, la viabilité de notre stratégie, laquelle nous confirme aujourd’hui au même niveau que les plus hauts standards helvétiques », conclut Laurent Katz.
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