Ce troisième opus monégasque riche en collections exceptionnelles confirme notre ancrage sur le Rocher et fut suivi attentivement par tous les collectionneurs présents, amis et amateurs.
Nous sommes fiers d’avoir présenté une vente d’une telle richesse que cela soit en Haute Joaillerie, Montres d’exception ou encore Œuvres d’Art, jalonnée par de superbes collections et des provenances remarquables. Associé à Monaco Legend Group, nous avons enregistré un résultat exceptionnel de près de €8 millions preuve de notre croissance à Monte-Carlo. Romain Réa. CEO
Dans l’effervescence estivale monégasque, le travail conjoint de Romain Rea, CEO Antiquorum, et de Claude Cohen, Chairman Monaco Legend Group, nous a permis de présenter des pièces exceptionnelles lors de nos ventes des 17, 18 & 19 juillet. Une salle comble et des ordres qui ont rassemblé des acheteurs des quatre coins du globe. L’Europe était au rendez-vous, tout particulièrement la Principauté et la Suisse, talonnée de près par les États-Unis puis l’Asie.
Près de €8 millions ! Un résultat exceptionnel dû à la grande qualité des pièces présentées et sélectionnées minutieusement par toutes nos équipes d’experts.
Sans surprise, la collection de magnifiques pendules des années 1930 a vu les prix s’envoler. Ainsi, l’immense horloge de bureau Cartier rectangulaire à pans coupés laquée de 1931 (Lot 87) fut vendue près de 245 000€. De même, l’exceptionnelle horloge de bureau Art Déco signée Vacheron Constantin, Vergé et Jacques Lacloche (Lot 89) dans le style sinisant avec ses imposants piliers sculptés en lapis lazuli, marbre, onyx et incrustations d’émeraudes a dépassé les 200 000€. L’adjudication de ces deux pièces historiques de qualité muséale manifeste la présence d’amateurs éclairés au sein de nos ventes.
Comme à son habitude Rolex a enflammé les enchères. La Rolex Sea-Dweller Comex ayant appartenue à Yves Giran Ref. 1665 – médecin plongée lors de la mission Hydra IV – (Lot 109) fut cédée pour 118 496€. La « Submariner Red » Meter first Ref. 1680 en acier (Lot 27) a fait plus du double de son estimation basse soit 33 488€. Plus contemporain, le Daytona en acier Ref. 116500LN datant de 2016 (Lot 285), avec son rare cadran blanc part pour près de 22 000€. Le Daytona 6264 avec son cadran Paul Newman « Panda » tropical (Lot 348 A) a suscité beaucoup d’émotion en salle : après une bataille entre un téléphone et le reste de la salle, c’est finalement internet qui l’emporta pour 243 432€.
La frénésie pour Patek Philippe ne s’est pas démentie avec l’Aquanaut Ref. 5060 (Lot 176) vendue plus de trois fois son estimation basse à 12 880€. La Nautilus 5712 en or blanc (Lot 119) est partie pour 33 488€ et enfin la WorldTime émaillée en or rose (Lot 86) à 96 600€.
Quant aux Daytona, la splendide 16520 « PORCELAIN DIAL AND FLOATING LOGO » (Lot 34), après de nombreuses enchères téléphoniques, passa dans les mains de son adjudicataire pour près du double de son estimation basse : 118 496€.
Autre record, le très beau 6263/6241 Paul Newman avec poussoirs vissés (Lot 38) fut vendu pour 427 400€ !
In fine – uniquement parce qu’il n’est pas possible de les citer tous – notre 6241/6263 avec son superbe cadran argent T Swiss T (Lot 36) part pour 83 720€.
Dès à présent, nous nous attelons à la préparation de nos prochaines ventes pour lesquelles nous vous retrouverons à Hong-Kong, puis à Genève pour notre vente emblématique de fin d’année.
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