Une montre qui changerait tous les jours de cadran ?
BYRNE est né de l’esprit d’un passionné qui a créé une montre à visages multiples : la Byrne GyroDial.
Tous les soirs à minuit, fluides et rapides, les quatre indexes à 3H, 6H, 9H et 12H se transforment et changent de visage.
Il y a 3 mois, à Genève, à l’occasion des Geneva Watch Days, Byrne Watches faisait sensation en dévoilant un nouveau concept : une montre qui change de visage tous les jours, selon l’humeur, grâce à 4 indexes qui apparaissent à chaque fois différent, sur le cadran.
Aujourd’hui, à l’occasion de sa première participation au salon WatchPro à Londres, Byrne Watches présente le GyroDial dans une version Sport.
Facile ! Pratique ! Plus besoin de choisir ! Plus besoin de définir ses indexes !
Le GyroDial Sport, c’est la liberté d’avoir une montre qui change de visage tous les jours, sans se poser de question.
Racé, le cadran de la montre jongle entre chiffres dans un style façon « Maillot de Sport », chiffres romains, chiffres arabes et invisibilité… l’ensemble est complété d’un bouton remontoir gravé du chiffre symbolique 1 – car en sport, on veut toujours être le premier, non ?.
La GyroDial Sport, taillée dans un bloc de titane Grade 5, 100% Swiss Made, est une montre qui se joue des apparences, s’amuse des humeurs, et qui, grâce à son cadran aux visages multiples, offre à son porteur, le sentiment d’une montre chaque jour différente.
La Byrne GyroDial Sport ou changer son cadran et sa personnalité en un instant. C’est là l’explication de sa devise « Change your mind in a flash ».
La GyroDial Sport, une montre qui change chaque matin de personnalité.
Une montre, quatre apparences qui vous sont proposées, sans rien à faire, chaque matin. Chiffres romains, chiffres arabes, cadran invisible ou cadran Sport avec des chiffres inspirés des maillots de sport réhaussés de SuperLuminova… Grâce à son mouvement développé sur-mesure, Byrne invente la montre dont le cadran change d’humeur tous les jours. Chaque soir à minuit, ou sur demande, les quatre principaux index du cadran de la GyroDial changent, portés par des cubes rotatifs, au saut instantané, qui affleurent la surface du cadran.
Sous l’impulsion de John Byrne son créateur, trois années de recherches et développement en Suisse à Fleurier ont été nécessaires pour donner naissance à cette complication animation brevetée. Le calibre 5555, a été entièrement dessinée, conçue, développée et fabriquée en Suisse pour la GyroDial Sport. Dans ses longues courbes souples faites de titane, le cadran aux finitions étirées à la main présente une esthétique contemporaine et très racée.
Une montre, 1 cadran, 4 visages. Voici une équation avec laquelle la Byrne GyroDial Sport rompt radicalement. Tout est interchangeable et en perpétuel changement dans notre époque. La montre mécanique n’avait aucune raison de continuer à faire exception. C’est dans une réponse à ce constat sociétal que s’inscrit Byrne Watches et ses deux créations horlogères, la GyroDial et la GyroDial Sport.
Aux quatre points cardinaux de son cadran, la GyroDial Sport présente des index permutables. Par leur large taille, leur changement entraîne celui de l’esprit du cadran et partant, tout l’esprit d’une montre d’un nouveau type. Par leur saut instantané et parfaitement maîtrisé, leur rotation crée un roulement dans le porter, offrant au porteur le sentiment d’une montre chaque jour différente, ou même de changer son visage en un instant. C’est là l’explication de sa devise « Change your mind in a flash ».
Prémices
Créée par John Byrne à la suite d’un long processus de maturation technique et philosophique, la GyroDial porte en elle le parcours de son créateur. John Byrne est designer de formation, et son parcours croise très tôt celui de la montre de collection. A la faveur de rencontres heureuses, il se voit appointé chasseur de raretés horlogères. Ainsi mandaté par les plus grandes marques qui reconstituent leur patrimoine à coups d’acquisitions, il se fait l’œil et la main sur les fondamentaux de l’excellence horlogère. Ainsi immergé dans cet univers auquel il adhère pleinement, il acquiert en parallèle un atelier de réparation et rhabillage. Il devient rapidement agréé par les plus grandes manufactures. Grâce à ce nouveau pan de sa carrière, John Byrne ajoute l’ambition de qualité technique à ses inspirations naturelles de designer.
Etincelle
La GyroDial est née à l’origine d’une révélation de John Byrne. Les processus créatifs sont parfois laborieux, parfois fulgurants, souvent un mélange des deux. Celui qui a mené à la création de la première pièce est dans ce dernier cas. Un soir qu’il assistait à une représentation de l’Apollon Musagète de George Balanchine à l’Opéra de Paris, il assiste à une étrange scène. Quatre danseuses changent de tenue quasiment instantanément comme si elles s’entrechoquaient. Ainsi le quatuor devient une seule danseuse avec quatre apparences différentes. Ce soir d’été, lorsqu’il descend le monumental escalier du Palais Garnier, c’est le déclic. John va réaliser une montre à quatre visages. Voilà pour le fulgurant. Vient alors la partie la plus longue, la plus importante et la plus gourmande en temps : le développement.
Impulsion
Dans les heures qui suivent la représentation John Byrne retourne à son atelier et se met immédiatement au travail. Mouvements et outils en main, en pleine nuit, il entreprend les premières vérifications qui lui disent que son concept de visage interchangeable est possible, réalisable. L’accouchement de la GyroDial est un processus qui s’est étalé sur plus de trois ans, entre la recherche initiale, les dessins, la recherche des bons partenaires à la hauteur et l’accouchement final de la pièce.
Incarnation
La maturation du projet finit par se matérialiser dans la GyroDial et la GyroDial Sport. Une montre en titane de 41,7 mm de diamètre pour 14,8 mm d’épaisseur, aux lignes tendues et modernes. Sur son cadran, quatre ouvertures qui sont autant de possibilités d’affichage, de visage, d’humeur et d’apparence.
En dessous, un calibre manufacturé à Fleurier et développé sur-mesure comporte quatre cubes. A minuit, ou à la demande, ces cubes sautent instantanément et présentent un visage différent, chaque jour ou à volonté.
Exigence
A quoi bon proposer quatre visages au lieu d’un seul, s’ils sont imposés, immuables ? Dans un esprit de cohérence et de facilité, Byrne imagine la GyroDial Sport avec ses 4 faces dont l’une est directement inspiré des chiffres floqués sur les maillots de sport. 45 étapes sont nécessaires pour la réalisation du cadran complet, qui est entièrement terminé à la main.
Il y a chez Byrne un refus de la facilité et du raccourci. Ainsi, il aurait été bien plus simple de partir d’un calibre existant, simple, avec un disque de date et de modifier cette dernière. Un anneau rotatif commandé, à sauts rapides, aurait permis d’éviter d’infinies complications. Mais ce fonctionnement n’aurait pas permis d’accoucher la vision esthétique de Byrne. En particulier, un disque de date est forcément situé en retrait du cadran.
Or le dessin de John Byrne est celui d’un cadran parfaitement lisse, où les index affleurent. Rien ne doit trahir le fonctionnement des changements de face, rien ne doit altérer l’apparence d’une montre parfaitement normale… jusqu’à son prochain changement.
Cette surface continue, sans arête ni renfoncement, est rendue possible uniquement par l’empli de cubes rotatifs. Les aiguilles, fabriquées à la main, font écho au cadran, avec une finition trait tiré et le liseré au SuperLuminova. Cohérence de design, cette même continuité se retrouve dans le dessin de la boite en titane et la manière dont elle se prolonge dans le verre saphir box qui la referme.
Fondamentaux
D’autre part, la volonté initiale, ancrée dans l’imaginaire de la danse qui a inspiré John Byrne, demande que le saut de ces cubes soit parfaitement instantané. Cette exigence n’est pas que technique, elle est aussi le produit d’une réflexion artistique. Comme souvent en horlogerie, la grâce, le style, la différence d’identité repose sur des fondamentaux purement mécaniques, qu’il s’agit à la fois de maîtriser et de rendre invisibles. Ce qui nécessite non seulement un développement entièrement nouveau de la partie complication de la GyroDial, mais aussi l’emploi d’un calibre de base parfaitement adapté. Il lui faut en effet délivrer une forte quantité d’énergie au module d’affichage, en continu, que ce dernier accumule en vue du prochain saut.
Expériences
Pour toutes ces raisons, Byrne s’est tourné vers son partenaire horloger Le Temps Manufacture, à Fleurier. Celui-ci travaille en toute discrétion pour certains des plus grands noms de l’horlogerie suisse, qui lui confient des projets spéciaux, et spécialement complexes.
John Byrne étant à la tête d’un atelier de rhabillage et réparation depuis de nombreuses années, il sait ce qui marche et ne marche pas, ce qui permet ou empêche l’accomplissement d’une fonction. Il a trouvé, après de nombreuses recherches infructueuses, ce partenaire qui comprend sa vision, est capable de la transformer en un calibre pleinement opérationnel sur tous les points. Ainsi, Le Temps Manufacture livre le calibre 5555. Ce mouvement de 30 mm est à remontage automatique et offre 60 heures de réserve de marche.
Précision
Puisque les cubes rotatifs du mouvement ont pour mission de s’afficher sur le cadran, l’interaction physique et esthétique entre ces deux éléments a été l’objet d’un soin de développement tout particulier. Tout d’abord, leur positionnement relatif ne souffre aucune approximation. L’index doit se trouver sur le même plan que le cadran, sans aucune variation dans le plan. Occuper très précisément l’espace de la découpe qui lui est réservée dans la plaque du cadran. Et retrouver sa position après chaque saut, c’est à dire des dizaines de milliers dans la vie d’une GyroDial Sport.
Continuité
Pas de jour, pas d’irrégularité d’usinage, une planéité parfaite de chaque face, un centrage méticuleux des axes…les finitions de chaque cube doivent être irréprochables pour que l’index soit totalement dans la continuité de la surface d’affichage. Enfin, pour parachever l’intégration des index mobiles, ils présentent la même texture que le cadran.
Esprit
Comme par un effet miroir, le cadran présente donc des finitions traditionnellement vues sur le mouvement : un satinage vertical intégral, appuyé, net. Cet étirage est effectué en une seule passe pour garantir un parfait alignement des rainures qui le composent.
Il procure à la GyroDial Sport un rendu sportif, dynamique, moderne, qui est l’une des composantes de l’identité de Byrne. A la toute fin de son processus de fabrication, le cadran subit un traitement galvanique qui le teint en gris ardoise ou en bleu.
Enveloppe
Ensemble, mouvement et cadran prennent place ici dans la boite de la GyroDial Sport. Une boite qui ne fait référence à aucun classique. Elle a été dessinée par John Byrne, qui a accompli ses études dans une école de design. Avec son profil tout en courbes, la boite est tout autant une œuvre originale que la complication qu’elle abrite. Fabriquée entièrement en Suisse, elle est taillée dans des blocs de titane.
Fluidité
Fluide, biomorphique même, cette boite se démarque par la tension de ses lignes, arcs nerveux qui se prolongent de corne à corne, sans pour autant sombrer dans la facilité. Au lieu d’une seule ligne, la boite en présente plusieurs, harmonieusement étagées entre les différents étages de cette construction originale. Et comme pour en faciliter la lecture, ces niveaux sont soulignés par des variations de finitions.
Titanesque
La carrure est satinée tandis que la partie haute de la boite, entre carrure et lunette, est entièrement polie. L’opération peut sembler banale, mais elle est notoirement difficile à exécuter sur ce métal résistant qu’est le titane. Parmi les multiples avantages que présente sa variante grade 5, il en est un qui se lit et se ressent immédiatement. Malgré ses proportions généreuses, la montre atteint à peine les 100 grammes sur la balance. Le second est plus rare, puisque le titane se présente rarement sous cette modalité polie : son rendu et sa brillance sont d’un type unique.
Adéquation
La lunette, fine et au décroché net participe à réduire la sensation d’épaisseur. Conséquence inévitable de l’emploi de cubes, elle a été limitée au maximum par le développement horloger et, magie du design, atténuée par cet efficace artifice visuel qu’est l’intelligence dans le dessin. En effet, la boite a fait l’objet d’une étude ergonomique poussée. Elle garantit le confort de porter, la douceur de ses courbes s’intégrant parfaitement avec celle du bras. Il en résulte un profil élancé, tendu, avec de larges excroissances qui servent de cornes, totalement intégrées à la ligne de carrure. L’ensemble est complété par un bouton remontoir gravé symboliquement du chiffre 1, la plus haute marche du podium pour la GyroDial Sport
Dernier maillon
Cette démarche s’est nécessairement retrouvée dans le dessin du bracelet. Impossible de laisser de côté la partie accroche au bras après avoir mis tant de soin à créer boite, mouvement, cadran et concept.
Réalisé par l’atelier spécialisé Jean Rousseau et entièrement sur les spécifications de Byrne, il est réalisé en caoutchouc. Il contient deux inserts, rigides, placés en triplure au plus près de l’entrecorne. Ils dessinent une nouvelle fois une courbe qui assoit la GyroDial Sport au poignet. C’est sur cette scène que la montre change de costume, tous les soirs à minuit, tel un coureur de relais passant le témoin à son coéquipier.
BYRNE GYRODIAL SPORT
Fonctions
Heures, minutes
Index mobiles à changement instantané à minuit tous les jours, ou à la demande
Boîtier
Matière : Titane grade 5, fabriqué à la Chaux-de-Fonds en Suisse
Diamètre : 41,7 mm x 48,1 mm
Epaisseur : 14,8 mm
Finitions : A la main, brillant, satiné
Verre : Saphir box, antireflets double face
Dos : Saphir box, antireflets
Etanchéité : 5 ATM , équivalent à 50 mètres
Cadran
Bleu ou noir, 4 cadrans différents,
Finitions traits tirés à la main
Ouvertures à 3, 6, 9 et 12h
Indexes soulignés de SuperLuminova blanc/bleu
Bouton poussoir gravé du chiffre 1
Mouvement
Calibre : Suisse, développé à Fleurier chez LTM
5555, mécanique à remontage automatique,
Finitions : Platine et ponts maillechort sablés et rhodiés,
finitions traits tirés, Côtes de Genève décentrées
anglage et terminaison main
Composants : 261
Pierres : 42
Diamètre : 30,00 mm
Hauteur : 8,00 mm
Réserve de marche : 60 heures
Fréquence : 4 Hz / 28 800 alt/h
Bracelet
Caoutchouc bleu ou noir, ou alligator bleu ou noir, inserts courbés intégrés sur mesure
Boucle en Titane Grade 5
Garantie : 3 ans.
Prix de vente HT : 16’500 CHF / 16’500 EUROS / 17,500 USD
Réservation en ligne, dès aujourd’hui, sur byrnewatch.com
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