La montre Moon Runner est porteuse d’une philosophie mariant l’ambition de la compréhension scientifique, grâce à la précision parfaite des phases de lune, et le rêve d’une appréhension nouvelle de la perception des lunaisons. « La forme et son caractère plastique unique sont aussi importants que la fonction » souligne Davide Cerrato, CEO et directeur créatif de HYT. En effet, la représentation de la Lune est totalement inédite, non seulement dans sa forme, avec la présence de l’astre en volume, mais aussi en raison de sa position centrale au cœur du dispositif technique de mesure offert par le garde-temps. Autour d’elle se déploient deux disques indicateurs en titane mentionnant les jours et les mois, en plus des indications horaires précisées par une aiguille courant sur une graduation spécifique avec un minuteur de 5 en 5, et les heures rétrogrades matérialisées par le système fluidique.
La Lune rouge : la plus mystérieuse, la plus vibrante
Depuis l’Antiquité, la Lune rouge est porteuse de messages. Augures de puissance pour les uns, signaux avant-coureurs de phénomènes naturels et météorologiques pour d’autres, elle a toujours été observée avec la plus grande attention, mais aussi avec une certaine fascination. Les mots pour la désigner varient. Dans certaines cultures, il est question de « Lune de sang » ou de « Lune cuivrée »
Apportant une nouvelle manière de regarder le sujet, HYT a choisi de baptiser sa montre « Red Magma » pour mieux souligner la puissance vibrante et vivante de cette teinte qui évoque autant l’astre lunaire que les entrailles bouillantes des planètes.
Le lien avec la Terre est particulièrement fort puisque lorsqu’il est possible de voir la lune teintée de rouge c’est en fait parce qu’elle est basse sur l’horizon et que la lumière du Soleil qui l’éclaire est filtrée en passant au travers de l’atmosphère terrestre. C’est pour la même raison qu’elle prend aussi une couleur rougeâtre lors des éclipses de Lune, car si la lumière solaire est pour l’essentiel bloquée par l’ombre de la Terre, la Lune reçoit quand même de la lumière diffusée et dispersée lors de la traversée de l’atmosphère terrestre.
La nouvelle HYT Moon Runner, avec son coloris unique et exclusif référencé « Red Magma », ne sera réalisée qu’à 27 exemplaires. Une pièce rare, intrinsèquement appelée à la spécificité.
HYT Moon Runner Red Magma, une montre lunaire
Au cœur du boîtier de 48 mm de diamètre et de 52,3 mm de longueur dont l’épaisseur est de 21,8 mm, réalisé en Hydro-carbone et en titane, partiellement habillé de rouge, surmonté d’un verre dôme en cristal saphir traité anti-reflets, le cadran noir et rouge, aux index 3D appliqués et aux chiffres luminescents blancs, dévoile clairement ses intentions et donne une place centrale et de grande dimension à la représentation de l’astre lunaire.
Participant à la parfaite lisibilité de cet instrument de mesure, l’aiguille des minutes est recouverte de Lumicast blanc, tout comme le disque indicateur des mois et le disque indicateur des jours du mois, tous deux traités noir mat avec des inscriptions rehaussées de Lumicast blanc.
La couronne de remontoir en titane reprend le code stylistique de l’ensemble de la pièce et s’habille de noir. Des nuances également rappelées par le bracelet bi-matière, composé de caoutchouc noir et d’alcantara rouge, au décor embossé et rehaussé de coutures rouges et terminé par une boucle en titane habillée de noir aux finitions satinées et sablées.
La carrure multi couches a été subtilement ajourée, et le mode de construction en sandwich de l’ensemble de la montre, étanche à 50 mètres et disposant d’un caisson protecteur central en titane pour le mouvement, permet à ce nouveau vaisseau de répondre de manière optimisée aux missions qui lui sont assignées.
La montre Moonrunner est animée par un mouvement mécanique à remontage manuel, le calibre 601-MO (41 rubis) battant à la fréquence de 28 800 alternances par heures (4 hz) et disposant de 72 heures de réserve de marche
Ce calibre a été conçu par Eric Coudray, un maître reconnu de la discipline. Sous la direction de Pur TEC et avec le concours de Paul Clementy, deuxième lauréat du Prix Gaïa, le mouvement a gagné en esthétique et en finitions, avec des satinages élégants ou des parties traitées au laser ou par microbillage.
HYT, l’OVNI de la Haute-horlogerie
Revenant aux sources mêmes du concept de la clepsydre et de l’écoulement du temps, les créateurs de HYT ont souhaité y appliquer une vision contemporaine. Il aura fallu plus de dix ans pour développer intégralement la technologie méca-fluidique brevetée propre à la marque neuchâteloise fondée en 2012.
Cette année-là, le prix de l’innovation au Grand Prix d’Horlogerie de Genève venait récompenser l’inventivité de la marque.
Parfois qualifiées d’OVNI horloger, les montres HYT, par leur style comme par leurs perfectionnements ont apporté un vent nouveau à la haute-horlogerie.
Davide Cerrato, un designer visionnaire aux commandes
Souvent présenté comme un « maître du néo-vintage », Davide Cerrato a donné naissance à de nombreuses créations marquantes pour des maisons horlogères réputées et de premier plan. Mais Davide Cerrato est tout sauf un nostalgique, et celui que l’on surnomme dans le sérail horloger comme le « master of vintage » est bien décidé à démontrer qu’il peut aussi être un designer tourné vers le futur.
En rejoignant HYT pour en piloter non seulement le style mais aussi la stratégie, grâce à sa double fonction de CEO et Directeur créatif, au sein de l’entreprise récemment reprise par KTS (Kairos Technology Switzerland SA), Davide Cerrato se réjouit particulièrement de pouvoir donner libre court à ses inspirations créatives. Elles puisent leur force dans des références multiples et trans-générationnelles, embrassant les aspects les plus audacieux ou ludiques de la pop culture comme de l’épopée de la conquête spatiale ou des totems modernes de la science-fiction.
A l’heure où le rêve de découverte de l’univers retrouve toute sa magie et sa puissance, au moment même où le désir de voyages dans l’espace devient une réalité tangible et concrète, la Moon Runner est une invitation à la découverte de la Lune sous une perspective nouvelle et inédite.
A propos de la technologie méca-fluidique développée par HYT
« La technologie méca-fluidique est une expression nouvelle de la science et de la recherche, mises au service de la belle horlogerie. Nous avons le pouvoir de mettre en avant la nature symbiotique de ces deux technologies » souligne Davide Cerrato, CEO et Directeur créatif de HYT.
Si chaque montre HYT est un concentré de technologie, chacune est avant tout une pièce de haute-horlogerie mécanique dédiée au plaisir des amateurs avertis.
Ce cœur battant mécanique donne sa puissance et sa force au fonctionnement précis de la montre. Une exactitude qui se traduit dans la lecture des indications horaires. Toute l’originalité des montres HYT réside dans la spécificité de cette indication : pas d’aiguilles classiques, mais l’observation du mouvement de deux fluides.
La maîtrise de la circulation des fluides, dans des microcapsules ou « tubes capillaires », à la frontière entre les domaines de la micromécanique et de la chimie donne à HYT sa singularité et son originalité : la première et unique montre méca-fluidique.
Le quart d’un cheveu humain, mais 10 000 fois plus étanche qu’une montre classique.
Comment cela fonctionne-t-il ? L’observation du cadran de la montre donne des éléments de compréhension. Deux réservoirs flexibles (dits « soufflets ») sont fixés à chaque extrémité d’un capillaire. L’épaisseur des parois de ce réservoir est d’une finesse inouïe à peine le quart d’un cheveu humain. Dans le premier réservoir se trouve le fluide actif, coloré, dans le second réservoir se trouve le fluide passif. Il est transparent.
Le principe de fonctionnement repose sur une mécanique qui anime les deux soufflets. Pour maintenir les fluides séparés, tout en contrôlant leur progression grâce aux soufflets, les ingénieurs ont apprivoisé le phénomène physique basé sur la force de répulsion des molécules de chaque fluide et des parois du capillaire. Des fluides non miscibles, c’est-à-dire qui ne se mélangent pas, et qui sont en permanente interaction, au cœur de la montre.
Pour assurer la parfaite fiabilité de l’ensemble de la montre, le module fluidique doit être parfaitement hermétique. Concrètement, son niveau d’étanchéité est 10 000 fois supérieur à celui d’une montre de plongée. C’est aussi la raison pour laquelle les modules fluidiques sont scellés pour l’éternité.
Une question se pose évidemment pour les amateurs de haute technologie : comment compenser la dilatation des fluides due aux variations de température ?
Une question essentielle pour un objet précieux, tel qu’une montre portée au poignet – donc soumise à la température du corps – et par nature exposée aux changements et aux aléas de la vie quotidienne, en intérieur comme en extérieur. L’élément-clé est le compensateur thermique situé à l’intérieur de l’un des deux soufflets.
Un calibre de haute horlogerie fiabilisé et optimisé
L’autre problématique majeure, c’est évidemment la concordance entre le fonctionnement de la mécanique horlogère et les mouvements des fluides.
Le mouvement de la Moon Runner est le calibre 601-MO élaboré par Eric Coudray.
Parmi les points les plus remarquables de ce calibre horloger d’exception, il y a la capacité à fournir un déplacement constant et à distribuer assez d’énergie pour que les liquides s’écoulent à la vitesse voulue à l’intérieur du capillaire en verre. Une progression d’une minute du liquide à l’intérieur du tube en verre équivaut à un déplacement d’1,5 micron du soufflet. Le choix d’un mouvement à remontage manuel n’est pas anodin : il est le gage d’un fonctionnement régulier et harmonieux.
Pour permettre la liaison entre le système fluidique et le calibre horloger, le mouvement dispose d’un levier surdimensionné, baptisé « palpeur », et qui fonctionne comme un pont car il permet de faire le lien entre le fonctionnement de la came, laquelle transforme un mouvement circulaire en mouvement rectiligne, et celui des soufflets, dont le rôle est de réguler le déplacement des deux liquides. Cette came, innovation amenée par Eric Couderay, permet une synchronisation parfaite entre heure fluide et heure mécanique.
Concrètement, dès que le levier est actionné, le mouvement pousse contre un soufflet permettant l’écoulement ininterrompu des fluides sur une durée de douze heures. Arrivé à six heures, les deux liquides retrouvent leur position initiale, donnant une lecture rétrograde des six heures suivantes.
Il est à noter également que lors du reflux rétrograde, les liquides se trouvent complètement déconnectés de la mécanique. De manière fascinante, le système fluidique régule lui-même le retour à la position initiale.
Ces caractéristiques techniques, complexes à première vue, sont en fait un régal pour l’œil puisque le cadran de la montre est sans cesse en animation.
Le regard aiguisé des experts, des collectionneurs et des amateurs de haute horlogerie s’arrêtera aussi sur les finitions du calibre et sur le nouvel habillage de l’ensemble de la pièce. Les équipes de HYT y ont porté une attention toute particulière. Le résultat est évident et positionne clairement la Moon Runner aux meilleurs standards de la haute horlogerie contemporaine, avec un degré d’exigence élevé en ce qui concerne l’exécution des composants. Une recherche de perfection, appuyée sur la maîtrise des savoir-faire horlogers suisses traditionnels, qui se marie chez HYT avec l’audace créatrice, comme en témoignent les finitions noires exclusives.
Tout a été pensé avec soin et en symbiose : les finitions du calibre horloger autant que l’habillage technologique et modulaire. Globalement, c’est tout le processus de la chaîne de qualité de la réalisation des montres qui a été repensé et affiné avec le développement de ces nouvelles pièces, en s’appuyant aussi sur les retours d’expérience depuis une décennie. La parfaite efficacité du calibre 601 MO a aussi été éprouvée pour en garantir la fiabilité.
Preuve supplémentaire que la maîtrise de cette technologie hors norme, tout comme la singularité exceptionnelle des matériaux contemporains ultra performants employés, sont autant d’éléments qui viennent renforcer la séduction captivante et sensuelle de ces montres conçues pour stimuler l’imaginaire.
HYT Moon Runner : une nouvelle manière de comprendre les phases de la Lune
La montre HYT Moon Runner assume parfaitement sa double nature : garde-temps de haute horlogerie aux fonctions de précision parfaitement lisible, elle a aussi été imaginée comme un véhicule céleste capable d’entraîner son porteur dans un périple émotionnel vers la Lune.
L’observation de la Lune, satellite naturel de la Terre, est l’un des piliers du développement des sciences. L’astre céleste exerce une incomparable fascination sur l’homme, lequel tente d’en comprendre les mouvements et les effets depuis la nuit des temps.
L’une des premières représentations connues de la Lune serait l’Orthostat 47, une sculpture sur roche découverte à Knowth, en Irlande, et que les scientifiques peuvent dater du troisième millénaire avant notre ère. Retrouvée par les archéologues sur une tablette d’argile dans l’ancienne cité d’Ougarit, au Proche-Orient, la plus ancienne trace écrite de l’observation d’une éclipse daterait de 1223 av. J.-C. Dès le VIII ème siècle av. J.-C., les astronomes babyloniens développent la compréhension des cycles lunaires. A partir de ces premiers jalons, les connaissances ne feront qu’augmenter, et l’horlogerie, dès ses prémisses, contribuera à l’avancée de ce savoir.
Symbole absolu du périple galactique, le voyage vers la Lune est une espérance sans cesse renouvelée depuis le premier pas de l’homme sur cet astre, en juillet 1969. Aujourd’hui même, un certain nombre de projets réalistes sont développés pour ouvrir les portes de l’espace à un plus grand nombre de terriens.
Conçue et réalisée par des maîtres horlogers suisses, ce vaisseau lunaire de la flotte HYT, aux côtés de l’Hastroid, est déjà devenu une pièce emblématique du nouveau décollage de cette maison horlogère indépendante.
Au-delà des apparences, la montre Moon Runner de HYT n’est pas née aux confins du réel et des mondes connus. Ses origines viennent de la planète Terre. Au cœur des montagnes de la Suisse, elle a été imaginée, pensée et mise au point dans les règles de l’art.
Un art aussi traditionnel que novateur, puisque, depuis la plus haute antiquité, les instruments de mesure du temps procèdent du génie humain appuyé sur la science et épaulé par la créativité formelle. L’indication fluidique de l’heure est inspirée de la clepsydre, une forme primitive d’horloge née dans l’Egypte antique, dont le principe novateur était de laisser s’écouler de l’eau d’une jarre à une autre afin de mesurer le temps passé et son « écoulement ».
Heure rétrograde et grande aiguille des minutes
Le fluide coloré qu’il contient assure la fonction d’indication de l’heure rétrograde. Les composants du mouvement mécanique à remontage manuel se dévoilent avec subtilité au gré des finitions ajourées du fond de cadran ou de la platine.
Ce calibre a été conçu par Eric Coudray, un maître reconnu de la discipline. Sous la direction du Tec Group, et avec le concours de l’horloger Paul Clementi, lauréat du Prix Gaïa, le mouvement a gagné en esthétique et en finitions, avec des satinages élégants ou des parties traitées au laser ou par microbillage.
Le cadran a fait l’objet d’un travail en profondeur pour améliorer la lisibilité et comporte donc une grande aiguille centrale au design affûté pour la lecture immédiate des minutes, tandis que deux sous-compteurs, disposés comme les instruments d’un tableau de bord, donnent les renseignements complémentaires essentiels : d’un côté, une petite seconde, et de l’autre, la réserve de marche.
Un même souci de clarté et de lisibilité a conduit à un travail particulier de la luminescence pour rendre l’Hastroid brillante même dans les profondeurs les plus obscures du cosmos lointain. Autant d’éléments techniques qui ne font que renforcer la séduction de cette montre pionnière.
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